Le LVT le blog s’arrête ici …
La suite désormais dans :
L’Os à voile ! le blog décalé des tout petits voiliers, kayaks et canoës à voile…
Bateau mythique des années 60 le Golif a contribué à écrire une des plus belles pages de la plaisance.
Même si Jean Lacombe a participé à l’Ostar sur un Golif dans l’édition de 1964, le bateau reste classé dans la catégorie des transportables.
Plusieurs sites de passionnés continuent à faire vivre l’histoire de ce bateau :
Le site de Tophe
et encore :
http://golifbateaux.canalblog.com/
http://golif-passion.forumactif.com/
http://www.havsornen.com/golif/
http://golif1968.canalblog.com/
http://golifrocknroll.canalblog.com/
http://www.barcaavela.it/Golif/Golif.htm
Un Golif sur sa remorque au Canada… « Mon pays ce n’est pas un pays c’est l’hiver … »
Propriétaires et amoureux de ce bateau n’hésitez pas à nous le faire mieux connaître !
Pour faire vivre la légende du Golif……………
Voir en ligne : GOLIF-YOUWANT
Moi aussi j’ai eu un Golif et je l’ai adoré, il s’appelait Pasiana. Peut-être quelqu’un me dira un jour à qui il a été vendu un jour à la Rochelle.
En attendant je ne l’oublie pas la preuve sur internet : http://onezif.free.fr/pasiana/cadre…
Voir en ligne : Pasiana , le Golif
Le Go Neptune est la dernière déclinaison d’un merveilleux bateau le Neptune 5.50.
Adolescent quand nous partions avec mes parents à la mer, dans la R16 paternelle depuis Avignon direction la Grande Motte notre route passait par Domazan dans le Gard et longeait le chantier Neptune qui produisait ces bateaux. Je me tordais le cou pour apercevoir les dernière unités construites en instance de départ pour différents bassins de navigation. A l’époque le Trident 80 était le fleuron du chantier et ce fut d’ailleurs, bien des années plus tard, mon premier « gros » bateau.
Puis vint la jauge micro et le Neptune 5.50 s’érigea bien vite en pilier de la série. Des années plus tard je régatais avec acharnement et bonne humeur contre des Neptunes sur le plan d’eau du Grand Large à Lyon. Quand notre Maraudeur a été au point, l’espace d’une saison… avec mon pote Gallo on en a fait baver à quelques uns… Les Saint Pierre sur Midget, Vido sur le Neptune Epsilon, Tonton Cochon, Laviolette et Cie s’en souviennent peut être … ou bien on définitivement oublié…
Bref,le Neptune est un sacré chouette canote … Une formule 1 des plans d’eau intérieur, rapide, exigeant , parfois volage, un peu de vent , un départ au lof et un toit … un …
Aussi quand le GO Neptune est apparu au salon de Paris désormais construit par GO YACHTING avec sa coque noire … la CLASSE !!!
J’avais le souvenir d’un voilier technique, pour ne pas dire délicat pour qui ne voulait pas bouffer de l’écoute en régate. Et bien le bateau a évolué, il reste une référence en régate mais s’est assagit. Pour preuve il est aussi un bon bateau de croisière.
Avec l’accord de Roger Baudet, voici la reproduction de l’article paru sur le site des GO NEPTUNE ….
Petit rappel amusant
Le GO a été demandé par des passionnés de régates qui voulaient que la série des Neptune continue, mais ce sont des amateurs de croisière qui ont acheté les premières unités.
Les atouts
Ce 18 pieds est réellement transportable puisque tractable par une voiture de moyenne cylindrée, avec mise à l’eau directement depuis la remorque. Sa cabine, bien que (trop) petite, est parfaitement isolée thermiquement et phoniquement grâce à la construction en sandwich. Le cockpit est vaste et très confortable. Enfin, le voilier est homologué insubmersible, ce qui peut toujours servir !
Les manques
Mais attention, un Go de croisière “clé en main”, cela n’existe pas. La cabine ne comprend que quatre couchettes et éventuellement un réchaud en option, c’est tout ! Pour le régatier, c’est peut-être le grand luxe, pour la croisière, non !
Le cahier des charges
Mais au fait, qu’est-ce qu’un voilier de croisière ?
Ma définition est la suivante :
Un bateau qui avance de jour comme de nuit, qu’il y ait du vent ou qu’il n’y en ait pas !
Un bateau qui peut s’éloigner de côtes en toute sécurité et dans un certain confort.
Les aménagements
Pour atteindre notre objectif, nous avons divisé l’espace du Go en “blocs”.
À l’avant, le couchage ; nous gardons les couchettes d’origine, mais les rallongeons de 15 centimètres (elles passent de 1m70 à 1m85) et les revêtons d’un tissu plus “cosi”. De côtés, les autres couchettes sont supprimées et font place : sur bâbord, à la cambuse (assiettes, casseroles, nourriture) et à tribord, à la “centrale technique” (GPS, VHF, tableau électrique, outillage).
A bâbord, le côté cambuse
A tribord, le côté technique
L’arrière bâbord est transformé en coffre à mouillages ouvrable de l’extérieur seulement. L’arrière tribord devient notre armoire à habits. Sous le cockpit, c’est plus traditionnel ; cachés derrière une porte : les WC chimiques, les voiles de rechange, la réserve d’eau (30 litres). Nous ajoutons sur le sol de la cabine un petit coffre pour cacher la pompe de cale et pour les boissons (contenu confidentiel !). Nous fabriquons également un coffre à l’arrière du bateau, dont le but est de recevoir les deux réservoirs à essence pour le moteur.
Électricité
Le bateau est livré sans circuit électrique. Nous posons donc une batterie de 45 A/h sous la couchette tribord, contre la dérive. Le voilier est équipé de feux de mouillage et de navigation, plus de la lumière pour la cabine. C’est l’alternateur 3A/h du moteur qui maintient la charge. Nous avons également un chargeur de quai, mais nous l’utiliserons très peu. Un petit accu de 1,3 A/h est stocké dans une poche étanche, au cas où la batterie nous lâcherait.
Et encore…
Quelques éléments sont ajoutés pour le confort : Un aérateur solaire pour la ventilation de la cabine, un plancher dans le cockpit pour éviter de se griller les pieds ou se les mouiller (l’eau passe dessous), un filet pour empêcher la canette de bière de s’envoler par-dessus bord et même une petite douche solaire installable sur le pont, sans oublier la traditionnelle échelle de bain !
Le bateau est prêt. Encore une balancine pour éviter la bôme sur les pieds, un équipement de sécurité correct, une girouette en tête de mât et nous pouvons partir.
Premières impressions
Les essais ont lieu sur le bleu Léman, donc, en eau douce. Première constatation qui se vérifiera en mer, le bateau est stable, très stable. Rien à voir avec certaines descriptions de Neptune “partant au tas”. Cela sera confirmé par d’autres utilisateurs. Est-ce la dérive de 45 kilos ? Est-ce la répartition des charges ? Est-ce una façon de naviguer plus tranquille qu’en régate ? Je n’en sais rien, je constate seulement. La proue coupe bien les vagues, nous serons très peu mouillés. Le roulis, même au portant, est très faible. On se croirait vraiment sur une grosse unité, si ce n’est la sensibilité à notre propre poids qui fait pancher le voilier lorsqu’on se déplace sur le pont.
“Lets’Go” de dos
“Let’s Go” de face
Pour un lac, le bateau est légèrement sous toilé et ne fait pas le poids contre certain “vrais” lacustres bien profilés. En mer, par contre, nous n’aurons pas à nous plaindre de nos 18,5 m2 réglementaires.
La première croisière
“Let’s Go” est mis à l’eau à La Ciotat, en Méditerranée. Au programme, 10 jours qui nous amènerons à Canne par le chemin des écoliers avec des navigations de 20 Milles par jour en moyenne. Petite surprise, nous avions fait très attention à la répartition des charges. Comme les mouillages (deux ancres plates de 4 et 6 kgs plus deux fois six mètres de chaînes) sont très lourds et situés sur tribord, nous pension voir le bateau s’incliner légèrement sur ce côté. En fait, il penchera de l’autre, c’est-à-dire du côté des bagages. Ce n’est pas la tour de Pise, mais tout de même une légère insulte au fil à plomb. La prochaine fois, je pars avec la brosse à dents, mais sans le dentifrice, cela devrait rétablir l’équilibre !
Le pilote
Notre vaisseau est un biplace, mais nous sommes trois à bord. Nous avons installé Victor, notre pilote automatique. Au départ, il n’était pas prévu dans l’équipage. Une longue navigation à barrer au moteur plus un prix très attractif de la part d’un distributeur ont eu raison de nos résistances. Nous avons acquis Victor, en fait, un Simrad TP10. D’abord prévu pour les allures moteur, Vicor barrera également sous voiles, et plutôt bien (ce n’est tout de même pas un fan du vent arrière). En fait, je crois qu’il n’y a que deux types d’utilisateurs de pilotes : Ceux qui n’ont que des problèmes avec, et ceux qui n’en ont jamais. Heureusement, nous semblons faire partie de la seconde catégorie.
Victor, le moteur, le coffre à essence et le pavillon national !
La vie à bord
Manger, dormir, regarder le paysage… Nous sommes à l’aise sur ce bateau et envisageons déjà des croisières beaucoup plus longues. Seul défaut, le plafond de la cabine est vraiment bas ! Mais il faut souffrir pour être beau (GO ?).
Avec un rouf plus haut, la ligne superbe du voilier ne serait plus la même. Nous acceptons donc de nous taper la tête ! Au port, nous disposons d’une tente faite sur mesure et couvrante le cockpit. Elle est composée d’arceaux en aluminium et d’une bâche “Hi-tec ” (en tout cas, si on considère son prix !). Cela nous donne une pièce de plus, soit, au gré des humeurs, un salon, une salle à manger ou une cuisine. Cette tente sera en fait très vite montée, très résistante au Mistral et saura se faire discrète une fois pliée.
“Let’s Go” à Saint-Raphaël avec sa tente. Esthétique discutable mais efficacité garantie !
Comment ça avance
La vitesse du voilier est conforme à nos prévisions. Au moteur, notre 5 chevaux quatre-temps tient les 5 noeuds sans problème, ceci en n’engloutissant qu’un litre deux à l’heure de sans-plomb 95. Nous avons 24 litres de réserve de ce breuvage, ce qui nous donne une autonomie de 20 heures.
Au moteur, le “sailmaster” affiche 5 noeuds 85 au cap 075 !
Sous voiles, nous oscillons entre trois et six noeuds selon le vent (force 2 à 6 durant notre croisière). Nous ferons une petite pointe à 8,5 noeuds lors d’une allure au portant. Notre voilure est celle proposée par le constructeur : voiles en mylar, spi symétrique (non pris en Méditerranlée, car nous ne sommes pas encore des experts de ce bout de tissu), trinquette “au cas où”, mais qui restera également dans sons sac. Le seul jour où elle aurait été utile, nous marchions tellement bien sous grand voile seule avec un ris au portant, que nous avons eu la flemme de sortir ce petit bout de toile.
Comment ça avance (bis)
Ce n’est pas parce qu’on est en croisière qu’on va se laisser dépasser par n’importe qui !
Bon, face aux “courses-croisières ” bien profilés, aucune chance, mais la plupart des croiseurs sont de type “familial”, donc lourds. Là, nous ne nous gênerons pas et c’est souvent nous qui arriverons les premiers aux douches !
Transportable
Le Mistral soufflera sur les trois quarts de notre voyage. Un jour, il nous propose des rafales à force 8. Des voisins de ponton doivent rendre le bateau à sa base, avec comme programme une quarantaine de Milles avec ce petit vent local dans le nez.
Nous décidons de continuer au portant. Le Go est un transportable, nous le sortirons ou il arrivera, quitte à aller rechercher le véhicule tracteur et sa remorque par le train !
Les limites
Un jour, nous mesurons les limites de notre 18 pieds. Un Super Calin (6m.50) super costaud arrive de Corse. Cette destination n’est pas pour nous. Nous sommes en croisière vacances, pas en raid survie ! Un simple coup d’oeil entre les deux bateaux nous rappelle que le GO est un croiseur côtier, rien qu’un côtier. Pour le reste, svp, voir plus gros !
Les défauts
Notre GO est un bateau neuf, qui jusque-là a essentiellement connu les autoroutes et le feu des projecteurs dans le cadre d’expositions comme le salon de Paris. C’est le premier de la série, donc un prototype. Cela se traduit, comme tout voilier neuf, par un bateau pas tout à fait au point. Nous corrigeons d’entrée une foule de petites imperfections sans gravité (par exemple la fermeture de la porte du capot). Ces travaux sont effectués avant même la première mise à l’eau. Le gouvernail nous posera également un sacré problème, car il ne fonctionne pas à satisfaction. Le chantier se montrera heureusement très réactif et nous aidera grandement à corriger les erreurs. Sur les GO’s suivants, ces problèmes ont je crois été résolus.
Combien ça coûte
Notre bateau a coûté, prêt à naviguer, la somme de 26’000 Euros. C’est beaucoup diront certains. Je pense que non. La plupart des navigateurs oublient de calculer les petits frais annexes qui gonflent le prix de base de 20 à 30 %. Là, j’ai tout additionné, y compris l’achat du tire-bouchon ou celui du pavillon national ! Pour ce prix j’ai un voilier technique, performant et confortable.
Le bilan
“Let’s Go” est un excellent voilier de croisière côtière, respectant totalement notre cahier des charges. C’est un bateau qui ne passe pas inaperçu avec son “look” particulier.
Ce type de croiseur est pourtant à déconseiller aux familles nombreuses et ne fonctionne bien qu’en version biplace. Bien que stable, le Go reste un bateau conçu au départ pour la régate ; mieux vaut donc avoir quelques notions de voile avant d’embarquer.
18 pieds pour naviguer, c’est petit, donc vulnérable. Des connaissances en navigation et en météo sont indispensables pour jouir d’une croisière en toute sécurité.
“Let’s Go” à Canne. Un sacré bon petit bateau de caractère !
Les voiliers de croisière transportables ont un avenir certain. N’oublions pas qu’ils avancent à 5 noeuds en mer et à 50 noeuds sur les autoroutes ! Ils se mettent à l’eau presque partout et dorment sagement dans le jardin en hiver. Leur entretien n’est pas monumental et passé l’achat de base, ces bateaux se révèlent économiques.
Alors…
Si vous êtes un peu bricoleur, d’un tempérament sportif (mais pas trop !) et amoureux des voyages, que vos enfants ne partent plus en vacances avec vous, que vous pouvez vivre sans vous changer quatre fois par jour, que vous êtes capable de vous passer quelque temps de votre télé écran plat taille XXL, que vous n’avez pas besoin de compenser vos échecs professionnels et sociaux par un navire possédant une plateforme pour hélicoptère, que vous ne confondez pas un noeud de chaise et une chaise moteur, que vous supportez correctctement le pastis lors des soirées au ponton, le GO de croisière est pour vous ! Roger Baudet
2 février 2006, par Chriscool
Bonjour,
Quel type de pompe de cale faut-il mettre sur un GO 5.50 ? Merci. Cordialement.
13 février 2007, par ulysse83
Ce serait sympas de se réunir tous les transportables confondus, sans distinction de taille.
Nous avons organisé des sorties mémorables avec les pneuboats.
Maintenant que j’ai reviré ma cuti vers la voile, j’ai la nostalgie des rencontres que nous avons faites avec mes amis SR.
Mais 5 nds contre 25 nds, ça pose trop de problèmes.
Cordialement,
Organiser un rassemblement est une opération lourde (j’ai déjà « donné » ches les Maraudeurs en 2000 et chez les Blue Djinns en 2006..) il faut prévoir les escales pour une flotte, réserver des restaurants, prévoir les mises à leau, le parking des remorques, la sécurité, les formalités diverses auprès des capitaineries, affaires maritimes etc …
Ceci étant il est tout à fait possible de s’organiser des sorties : balades courtes ou mini croisières à deux ou trois bateaux. C’est pour cela que j’avais mis la rubrique « rendez vous » sur le forum général …
Il est à supposer que les colonnes « sujet » « messages » et « réponses » risquent de voir leurs compteurs à 0 pour longtemps.
Notre Webmaster Marc va sans doutes remédier à ça.
Venons-en au fait !, Pour le lancement de notre bateau TES 678 BT, premier en France, nous organiserons le dimanche 25 Févier une journée de baptême bien sympathique à laquelle nous vous invitons. Le bateau sera présenté en situation sur la CAME de Hyères à partir de 12 heures, il sera officiellement lancé en France par sa mise à l’eau dans l’après-midi.
Un apéritif aura précédé cet évènement, suivi d’une collation chaude, en l’occurence une paëla préparée sur place par un traiteur, à déguster debout (la paëla, pas le traiteur) ainsi que des desserts divers, le tout arrosé de crus locaux bien entendu.
En espérant votre présence, les personnes intéressées sont priées de me le faire savoir sur mon e-mail j.prose@wanadoo.fr avec le nombre de personnes présentes.
Et que la Fête soit avec toi
Cordialement à tous
Il est à supposer que les colonnes « sujet » « messages » et « réponses » risquent de voir leurs compteurs à 0 pour longtemps.
Notre Webmaster Marc va sans doutes remédier à ça.
… c’est réglé !
Roger Dumont reçoit beaucoup de demandes de renseignements concernant son bateau un Octave « gros transportable ».
Il se prépare pour sa prochaine croisière en Croatie mais cette fois la partie la plus au sud pour finir à Dubrovnik. Toujours le même programme d’abord par la route et ensuite sur l’eau.
En attendant à la suite de nombreuses demandes voici des vues de l’intérieur du bateau.
Bonjour,
Je viens de tomber par hasard sur votre site et je le trouve très sympa. Je fais aussi partie des marins à roues depuis de nombeuses années. Je suis à mon troisième bateau transportable le premier était un microsail de 5.5 m, le deuxième un first 235 et aujourd’hui je tracte un 8m du nom d’Octave.
Ce bateau est en CP epoxy fabriqué par le petit chantier Estuaire Marine et dessiné par le très connu Georges Auzépie Brenneur. Le bateau est au gabarit routier et à quille relevable de plus il est assez léger ce qui me permet de l’enmener avec moi en vacances en Croatie à 1300km de chez moi.
Je tracte avec bien sur un 4×4, pour pouvoir affronter les pentes à 8% voir plus durant le trajet.
Je suis très satisfait du bateau l’année dernière nos avons passé des vacances fantastiques et pour la première fois j’ai trouvé le bateau assez grand et je n’étais pas en surcharge sur l’eau.
Je mate tout seul le mât de 11m grace à une chèvre articulée sur la plaque de fixation des haubans et avec l’aide du treuil du 4×4. Ensuite je met la remorque à l’eau ( uniquement eau douce) aussi avec le treuil, télécommande en main je peux diriger la manoeuvre et même monter sur le bateau à l’eau.
Voilà pour mon expérience
Cordialement
Alsace
Cet article avait suscité beaucoup de discussions :
27 janvier 2005, par Roger
effectivement il faut bien le permis E pour tracter ce type de charge et même avec un 4×4. Pour le lest du bateau il est scindé en deux partie. La première la plus efficace est le bulbe de 320Kg en plomb, la deuxième partie peut être soit constituée de barres en plomb sous le planché pour un total de 300Kg soit de ballasts de 2x200l dans les banettes du carré. J’ai pour ma part opté pour le plomb pour libéré l’espace et permettre de lopger le matériel pour quatre personnes. Si un jour nous partons à deux personnes seulement je peux toujours ajouter des ballasts du type vache à eau.
Le confort du voyage se joue dans l’équilibrage de la remorque et dans la puissance du moteur .. !
26 janvier 2005, par Marc
Merci Roger pour votre témoignage, avec votre bateau nous voici dans le domaine du « grand transportable ». Avec la saturation des ports et la quasi impossibilité de trouver un anneau voici sûrement la solution ! Plusieurs questions me viennent à l’esprit, en voici deux pour commencer : tout d’abord sur le plan de la législation le permis E est il nécessaire pour tracter le bateau ? Celui ci comporte t- il des ballasts et un lest liquide ?
28 janvier 2005, par marc
Décidemment cet article suscite de ma part beaucoup de questions ! Je reviens sur le mâtage : comment est constitué le pied de mât : s’agit il de jumelles ou d’un autre dispositif ?
28 janvier 2005, par Roger
Avant tout je dois dire que pour moi un bateau transportable doit rester facile à mater pour rester autonome même dans une base où il n’y a pas d’équipement. Et dans le choix de notre grand transportable ce point a retenu toute mon attention. Tout le plan de voilure est organiser de manière à faciliter le matage mais aussi la navigation en solitaire a savoir : Les haubans se fixent sur les serres bauquières et pas sur les hiloires de roof ce qui permet l’utilisation d’un profil de mât plus fin. De plus l’architecte a ajouté des contres haubans pour parfaire la tenue. Tout cela a permis l’utilisation d’un pied de mât standard équipé d’une belle charnière qui permet le mâtage comme sur un micro… enfin presque ! Ce type de haubannage ne gêne pas du tout la circulation sur les passavants les barres de flèches étant assez grandes. Par contre le génois a fort recouvrement est impossible et nous avons opté pour un solent, beaucoup plus facile à manoeuvrer en solo. Seul inconvénient les grandes barres de flêches empêchent l’ouverture en grand de la GV . Les first 211 et 260 ont aussi cet inconvénient, mais tout est affaire de compromis ! pour ma part je suis pleinement satisfait de ce pln de voilure. Voilà j’espère que mon explication est assez claire
Roger
18 mars 2005, par Bart
Bonjour,
J’ai lu votre article et je suis très interesé d’avoir plus de détails sur votre bateau l’octave. p.e. poids, profondeur, largeur, hauteur sous barreau, moteur in-bord ou out-board, plan d’aménagement intérieur, prix, …etc
Est ce que l’architect Brenneur a une site web ?
Nous avons fait les memes experiences en Croatie (mis a l’eau avec la grue du marine Opatja) l’ete 2004 avec une Surprise counstruit par Archambault. C’ect un voilier, quillard, très rapide, mais nous avons eu beaucoup de peine pour ranger toutes nos affaires dans un si petit espace. C’est pour cette raison que j’aimerait bien changer de bateau, mais bien sur, sur condition de pouvoir le remorquer !
Merci d’avance et salutions du lac Leman (Genève),
Bart
21 mars 2005, par Roger
Bonjour,
Je suis très content que mon article vous plaise d’ailleurs la revue Loisirs Nautiques publie le mois d’avril un article que j’ai écrit sur nos vacances en Croatie suite à la demande du chantier . Il y a également un article très complet dans LN382 qui est en fait un essai du bateau à sa sortie .Je peux l’envoyer par mail en PDF à ceux qui en feront la demande. L’architecte Georges Auzépie Brenneur n’a pas de site internet ni même de mail pour avoir un renseignement sur le bateau vous pouvez vous adresser au chantier » Estuaire Marine » 0296868939. Quelques chiffres longueur 7.97m Largeur 2.55m HSB 1.8m voilure au prés 42m² ( ça pousse fort, pour une utilisation en famille on peut réduire la GV , un peu !) TE 0.65m à 1.9m + moteur IB Je peux encore ajouter que les relations avec le chantier et l’architecte ont été très sympatiques et très professionnelles et qu’il n’y a eu aucune mauvaise surprise. A l’arrivée je suis très satisfait du bateau mais pour tracter il ne pas se faire d’illusions il faut un 4×4 et pas fatigué ! il ne faut oublier que la remorque seule pèse déjà 600kg + l’armement + le bateau ( dépand de la version)
21 juillet 2005, par Stefano MILAN (I)
Bonjour, Pardon , je parle pa francaise. I am very interested in Octave, but I cannot find good specifications, a PDF, a web-site… Would you send me a PDF file ?
Mercì , Good Wind,
Stefano
12 août 2005, par LEMAITRE JP
Bonjour, Si cela ne vous dérange pas, j’aimerai recevoir le document PDF concernant l’Octave. En effet, bien que je sois l’heureux propriétaire d’un Etap 30i, je commence à trouver les charges portuaires de plus en plus lourdes et j’envisage de passer à « un transportable ». A ce sujet, il me semble exister une possibilité rarement citée qui serait de laisser son bateau dans une société de gardiennage de caravanes. Ce qui permettrait d’éviter des trajets pénibles et d’explorer une zone de navigation à son aise avant d’en changer. Est ce une possibilité utilisée parmi les propriétaires de transportables ou existe t’il de bonnes raisons pour éviter cette solution ? Merci pour les réponses et bravo pour votre site
21 septembre 2005
Bonjour, vous pouvez contacter le chantier naval « Charpentes et Bois Marine,au port de la Minotais, 22490, Ploüer sur Rance. Nous nous ferons un plaisir de vous envoyer par courrier toute la documentation sur la construction d’un Octave, et les prix actualisés. PS : Le futur site consacré à notre chantier et à ses activités est en cours d’élaboration, patience donc…
28 septembre 2005, par Roger
Très bonne nouvelle en attendant pas de problème je continue à envoyer les documents demandés. Je rentre de vacances en Croatie et je suis plus que jamais satisfait du bateau. Nous avons souvent navigué avec 35 à 40 N de vent le bateau est vraiment très marin.
Bon vent à tous
15 septembre 2005, par Alex
Bonjour, J’ai lu votre article dans LN et suis aussi très intéressé par le PdF plus détaillé. Ce bateau correpond tout à fait à ce que je cherche. Merci et bon vent. alexhuynh@yahoo.com
24 septembre 2005, par Robert Racca
Bonjour,
j ai lu avec plaisir votre article, apres avoir lu l article sur la croisiere en croatie dans LN.
lecteur fidele de LN, je n ai malheureusement pas le num 382, et celui ci est epuise (impossible de le commander a LN).
je serais tres interesse de recevoir cet article au format PDF, si cela ne vous ennuye pas.
Je vis en Nouvelle Caledonie et le lagon y est immense. Apres avoir eu un vieux cata anglais (Prout) j aimerais amenager une coque recente pour profiter des progres de l architecture navale, et votre « octave » repond tres bien a ce aue je cjerche.
en vous remerciant a l avance, meilleures salutations.B-)
R.Racca Nouméa (racca@univ-nc.nc)
9 juin 2006, par philippe laureau
bonjour je suis interessé par l’Octave que je viens de découvrir. Je souhaiterais la doc en PDF. Je vous en remercie par avance. Philippe Laureau.
29 novembre 2006
bonjours j’ai lu avec interet votre article, et je suis interesse par avoir votre essai en pdf. si vous pouvez me l’envoyer à pascalpourtier@orange.fr ce serait bien salutations
19 février 2008, par Fred
Bonjour,
Quelqu’un pourrait t’il me dire comment acceder a des photos du bateau ? Et un contact email du constructeur ?
Y a t’il une toilette fermee dans ce bateau ?
Merci
Frederic
4 juillet 2005, par Chantier naval Charpentes et Bois Marine
Cher Monsieur, voici les coordonnées du chantier qui propose la construction d’Octave, à tous les stades de finition :
Charpentes et Bois Marine, Port de la Minotais, 22490 Ploüer sur Rance, tel : 02 96 86 94 91
3 octobre 2006, par ian
bonjour
je lis avec interet votre email sur votre croisiere en croatie en surprise, puisque je suis proprietaire d’un surprise aussi et souhaite aller me balader à droite à gauche aussi. pourriez vous me dire avec quel vehicule tractiez vous ? le surprise a t il été suffisant en terme de qualités marines : coups de vent etc car en meditterannée, je crois que cela souffle tres rapidement. Enfin, combien de milles avez vous fait en croatie ?
merci d’avance
cordialement
Yann
7 octobre 2006, par Dumont Roger
bonjour,
Désolé mais mon bateau n’est pas un surprise mais un Octave de 8m. Je le tracte avec un Discovery 300TDi de 10ans et je n’ai pas de problème et pourtant il y a quelques pentes sévères et 1300 Km pour aller en Croatie. Le Discovery n’est pas spécialement puissant par rapport à d’autres 4X4,aujourd’hui beaucoup de S.U.V sont équipés de moteurs très puissant. Ce qui est important c’est le couple à partir de 300Nm plus vraiment de problème pour tracter, pour le reste je ne vois pas vraiment l’intéret pour un 4X4 de rouler à 200Km/h et passer de 0 à 100km/h en moins de 10s !! Pour revenir à mon Octave, j’en suis à ma troisième croisière le bateau est vraiment sympa, confortable et très marin, le Surprise est sympa aussi mais je pense qu’il manque un peu d’habitabilité pour une croisière de plusieurs semaines.
Bon vent
Roger
26 novembre 2005, par Eric
Bonjour,
Je viens de découvrir l’Octave à travers votre article. Pouvez-vous m’envoyer les infos qui ont été publiées sur ce bateau (et votre article) par mail ? (Il y a également un article très complet dans LN382 qui est en fait un essai du bateau à sa sortie .Je peux l’envoyer par mail en PDF) Merci d’avance Eric (de NANCY-54) e.lemoy@voila.fr
7 décembre 2005, par Roger
Bonjour,
Pas de problème je vous envoie cet article de suite ainsi que l’article que j’avais écrit à la demande de LN sur nos vacances en Croatie. Vous trouverez l’adresse du chantier dans le forum plus bas.
Bonne lecture
11 octobre 2006
agur, je serais intéréssé par la doc format pdf de l’octave. serait-il possible de l’avoir ? mon e mail : peio.dumercq@laposte.net merci d’avance peio, de Bidart
2 janvier 2006, par Didier Angot
Bonjour, j’ai lu avec intêret l’article sur l’Octave. J’aimerai avoir dese renseignements sur la mise à l’eau en Croatie et site où laisser sa voiture en surêté. Merci
8 janvier 2006, par Roger
Il y a plein d’endroits où l’on peut laisser sa voiture et sa remorque en sécurité certaines marinas sont très organisées pour les marins à roues . C’est le cas de la Marina à PUNAT elle est dans le nord de la Croatie elle est très bien pour une première visite du pays, la mise à l’eau est faite avec un chariot élévateur en une minute et même si le bateau est déjà maté. Sinon il y a plus au Sud, près de ZADAR la marina à Sukosan elle est plus chère mais il y a un accès direct vers les Kornatis et on est moins exposé à la Bora( vent fort local du NE) Il y a plein de petits ports qui permettent aussi la mise à l’eau mais il faut caser sa voiture et sa remorque entre les bateaux à quai et c’est moins évident. La Croatie est en tous cas un endroit fantastique pour les bateaux transportables.
17 août 2006, par françois
BONJOUR ? JE SUIS AUSSI INTERESSE PAR VOTRE MODELE DE BATEAU, pouvez vous m’envoyer votre article svp. merci cfxtl@free.fr
2 octobre 2006
bonjour de la region Aixoise
Je viens de lire votre article qui ma vraiment trés interesse… je cherche desesperement une remorque a louer pour descendre mon Fantasia 27 quillar qui se trouve dans la Marne…..je ne trouve rien à louer, ni loueur etc etc peut être auriez vous un plan à me donner ou une adresse de loueur. Les transporteurs me demande en moyenne 1600€….trop cher pour moi je vous en remercie par avance et bon vent Pascal
7 octobre 2006, par Dumont Roger
désolé je n’ai pas de bon plan pour déplacer votre bateau, 1600€ ça fait un peu cher. Pour ce prix vous pourriez même en trouver une d’occasion. Si votre bateau est posé sur un ber vous pouvez envisager de poser le tout sur un plateau pour voiture c’est beaucoup plus facile à louer. Attention à bien arrimer. Bonne chance.
Roger
1er novembre 2006, par Thierry
Bonjour, Pour transporter un quillard, les remorques sont plus rares …. Un truc sympa serait de descendre par les canaux. Belle et longue ballade en perspeptive.
8 novembre 2006, par makapaty
Bonjour, Votre article est très bien. Je viens d’acheter un Tonic 23, est-ce que vous avez des explications voir des photos concernant le matage. Merci Thierry
9 novembre 2006, par Roger
je connais un peu le tonic 23 mais bien plus le first 235 qui était mon bateau précédent. Ces deux bateaux sont très similaires et donc les problèmes de mâtages aussi.Malheureusemment je n’ai pas de photos mais voilà comment je procédais pour mâter, après avoir moi-même observé les autres faire bien sur. Il y a surement d’autres techniques mais pour ma part j’utilisais le tangon comme levier celui-ci étant fixé à l’avant du pied de mât. Pour tirer il suffit de prendre le palan de GV fixé à l’avant du bateau et à l’autre extrémité du tangon (en enlevant éventuellement un tour pour gagner en longueur). Au départ le tangon est presque vertical pour finir au niveau du balcon quand le mât est en place. Attention cette technique ne permet pas de guidage latéral du mât donc attention au vent et aux déplacements sur le bateau pendant l’opération. Pour complèter le système une petite échelle haubannée à l’arrière permettra de poser le mât en évitant d’abimer le roof.On peut aussi ajouter un galet tournant type remorque en haut de l’échelle pour déclacer facilement le mât. L’avantage de ce principe c’est que le palan et le tangon sont déjà dans l’équipement du bateau quant à l’échelle elle permet aussi de monter sur le bateau quand il est sur sa remorque. Avec un peu de pratique c’est très facile à faire, même en couple.
1er mars 2007, par Vincent
Bonjour,
Je cherche actuellement a investir dans un voilier transportable pour naviguer en famille (couple plus 2 enfants 3 et 1 ans) en bretagne sud et egalement pouvoir naviguer vers chez mes parents autour du golf de St Tropez. Au début je regardais le blue djinn, ou le viva 600 car mon véhicule etait un Xaraa picasso aujourd’hui je l’ai vendu pour acheter un nissan Xtrail 2.2 dci 136 cv. Après avoir visité les bateaux cités précédement ma femme aimerait avoir plus de confort (toilette isolé, petit coin cuisine et hauteur sous barrot) et en restant toujours dans les limites du transportable. J’ai failli investir dans un dufour T7 mais il ne remplissait pas les conditions de « confort » cité ci dessus pourtant il est transportable avec l’avantage d’être dériveur intégrale et donc une mise à l’eau grandement facilité.
Maintenant le 4X4 acheté et le permis EB je me dis que je dois bien pouvoir tracter un voilier de type Tonic 23 first 235 ou first 24. Nous avons en effet eu un petit penchant pour l’un ou l’autre. Seul bémol la mise à l’eau via une cale n’est plus possible. Reste la question du matage : Peut on réellement mater seul ce type de voilier ? Pensez vous que le Xtrail me permette une ou 2 fois par an de descendre dans le sud depuis la bretagne ou la region parisienne pour aller naviguer. Pour une famille un couple plus 2 enfants pensez vous que mon choix Tonic 23, first 235 ou first 24 soit un bon compromis pour un programme de navigation de quelques jours à 2 à 3 semaines avec 2 bassin de navigation bretagne et med’. Ces voiliers sont ils autorisé pour une traversée continant => Corse ?
Existe t’il d’autres unités d’environ 23’ si possible dériveur integral pour une mise a l’eau sur cale ou déeriveur lesté ou quille relevable qui resterait malgré tout transportable dans un budget de 15 000 € max avec remorque.
Je recherche des avis des infos sur ces voiliers sur leur mise a l’eau (prix facilité, manoeuvre, nombre de personne), le matage (facilité nombre de personne technique), le déplacement (realisable ou pas avec Xtrail 2.2 dci charge max remorquable 2050 Kg, PTAC:1850 Kg, PTRA:4050 Kg).
Merci a tous pour vos temoignages et vos infos.
Vincent
1er mars 2007, par Marc Jamois
C’est l’histoire du beurre et de l’argent du beurre … et du sourire de la crémière !
Pour moi c’est clair si l’on fait le choix du gros transportable (confort, hauteur sous barreau, WC isolé etc etc . ) il faut faire une croix sur la mise à l’eau sur une cale depuis la remorque… Grutage obligatoire !
Je modère un peu : dans des conditions favorables : cale idéalement pentue, pas de vent ni de courant la mise à l’eau sera éventuellment possible (et encore avec une bonne remorque qui permet de ne pas immerger les roues). La remontée sur remorque sera une toute autre musique !
je dis cela avec l’expérience d’un Etap 22i et d’un Blue Djinn… Alors au dessus en taille … Mais les possesseurs expérimentés de « gros » me démentiront peut être ???
@+Marc
2 mars 2007, par Vincent
Merci Marc pour ta contribution.
Je m’attendais a ta réponse car avec de tel unité mettre a l’eau sur cale meme avec un 4X4 … D’une maniere générale combien coute un grutage pour ce type de bateau Tonic 23 / First 235 / 24 ? Comment matter est ce la grue ou bien a la force des bras ???
Vincent.
2 mars 2007, par Roger
bonjour,
J’ai pour ma part bourlingué plusieurs années en FIRT 235, c’est un trés bon bateau mais pas toujours facile il a tendance à passer sur sa barre quant il est surtoilé. Le first 24 est un super bateau à choisir aujourd’hui c’est pour celui ci que j’oterais. Il est un peu plus lourd que le 235 ! Son seul problème c’est qu’il assez rare et donc parfois un peu cher, votre budget devrait aller. Et bien sur il y a les problèmes de transport et mise à l’eau, le transport avec le 4×4 c’est très bon mais il me semble qu’il va manquer un peu, 2050 pour la remorque c’est un peu juste. Avec mon First 235 j’avais une remorque 2120 Kg max,et bien je me suis fait pesé par les gendarmes avec une surcharge de 5% ! Le mâtage, facile en couple une fois qu’on a le coup de main et pour la mise à l’eau je suis d’accord avec Marc même si ça reste possible autand éviter. Sinon c’est que du bonheur aprés 15ans je ne me lasse pas j’ai même changé pour plus grand(voir Octave). Bonnes Nav
4 mars 2007, par poquo
Bonjour,
Comme bateau qui peut rentrer dans vos prix et caractéristiques il y a le Belouga IOR appelé parfois super bélouga. Il fait 7,2 m pour un déplacement de 1100 kg. C’est un bateau assez vivant construit en aluminium avec, pour le modéle insubmersible,des toilettes séparées à l’avant et une homologation en ancienne 3eme catégorie, donc pas de problème pour aller en corse.
Le mien n’a pas de remorque pour le moment donc je ne peux pas vous parler de la mise à l’eau. J’ai remonté Kada-lu de Séte à Vannes cet été (2006) par le canal du midi et la mer avec ma femme et 3 de mes 4 enfants. Le démâtage (Séte) et le mâtage (Bordeaux) se sont biens déroulés en utilisant deux tringles à rideau comme chèvre.
il y a un article très bien fait sur ce bateau sur ce site
Pierre
4 mars 2007, par Arnaud
bjr, je vends un ETAP 22i de 1993 hyper équipé et en très bon état. px:17000 euros à débattre. RDV sur : http://vagabond2.monsite.orange.fr/ Pour info : mise à l’eau facile et mâtage autonome grâce aux jumelles. sorti de l’eau sur cale avec ma 307 bateau fiable, insubmersible ,utilisé en couple avec mes 2 enfants (2 et 4 ans). Toiles antiroulis rajoutées très pratique pour la sieste des enfants. bateau visible à Cancale vente cause déménagement hors littoral. cordialement arnaud
12 novembre 2006, par jefboat
Bonjour, J’ai un Tonic 23 et je le mate avec ma femme et ma fille. je fait un support pour le mat avec l’échelle qui me sert à monter à bord quand le bateau est sur la remorque. J’arrime l’échelle verticalement avec des bouts sur le balcon et sur les winchs. je recule le mat sur l’échelle jusqu’a ce que l’équipère engage le pied du mat dans son logement. Il faut que l’échelle soit assez longue pour que le mat ne porte pas sur le rouf. Ensuite j’avance en portant le mat et en le soulevant, le point critique est de monter sur le rouf. A ce momment mon équipère soulage le poids du mat et nous le poussons alors très facilement j’usqu’a la verticale. Pendand toute la manoeuvre mon autre équipère n’a fait que tenir l’enrouleur pour l’amener au niveau du balcon avant. Je n’ai plus qu’a mettre l’axe de l’étai. Si utile je peux aussi expliquer comment je descend le mat sans plus de personnel. Pour info je tracte le Tonic sur remorque avec un 4×4, Discovery boite auto, c’est le top. Salut JF
25 juillet 2007, par steph
Salut les marins . Je suis en recherche d’info sur les 4X4 en boites automatique. Je me suis déja renseigné et j’ai appri que les plus gros 4X4 long peuvent tracter 3,5 T les mêmes en court 3 T et les autres environ 2 T.
Mon souci est le comportement des boites auto en descente ou sur de fausses pentes .Ayant déjà conduit des utilitaires boites auto trés lourd les véhicules ne savaient plus quelle vitesse utiliser et il passaient d’une vitesse à l’autre sans arrêt .la vitesse supérieure était trop longue et l’inférieur faisait hurler les moteurs j’étai donc obligé d’imposer manuellement les vitesses.Dans les descentes il fallait bien sur aussi imposer les vitesses.
Actuellement le tracte un dufour T7 de 1600 kg sur une remorque de 600 KG avec un master qui est autorisé sur carte grise à 1800 kg il y a de la surcharge dans l’air !
De toute façon j’avai avant un B110 qui était autorisé sur carte grise à 3000 kg de tractage mais il se comportait mal trop mou et en plus les roues jumelées arriéres patinent pour un rien même sur terrain plat alors dans une rampe ! je n’ai jamais essayé.
Tout ça pour dire que quand j’aurai de bonnes infos le véhicule tracteur sera acheté et je chercherai un bateau plus gros et transportable bien sur.
Merci pour vos réponses
Steph Adresse e mail : navireureka@caramail.com
26 novembre 2006, par BEURIOT DIDIER
BJR je viens de lire votre article et on est en FIRST 24 et on cherche plus grand et moins lourd !!!!serai t il possible d avoir plus d info !!merci !
25 décembre 2006, par Raymond VENET
Bonjour je suis à la recherche d’un transportable et j’aimerai en savoir plus sur Octave.
Pouvez-vous me préciser les coordonnées du chantier
Merci
Raymond VENET
26 décembre 2006, par Roger
Bonjour,
Ci-dessous les coordonnées du chantier, Octave est fabriqué dans un petit chantier fort sympatique sur les bords de la Rance.
Charpentes et Bois Marine, Port de la Minotais, 22490 Ploüer sur Rance, tel : 02 96 86 94 91
Cordialement
Roger
30 décembre 2006
Bonjour
merci pour l’envoi des coordonnées du chantier. Celui-ci doit etre fermé pendant les fêtes car il ne répond pas au téléphone. En attendant serait il possible que vous m’ adressiez votre documentation sur PDF
Encore merci et bonnes fêtes
Raymond raymond.venet@laposte.net
2 janvier 2007, par brabant emeric
Merci pour toutes ces correspondances au sujet d’Octave. J’étais sur le point d’acheter un Djinn 7 ( dans sa nlle version confort ) mais avant je serais donc fortement interessé par la récéption de votre doc en pdf. Merci aussi pour les astuces de matage tjrs aussi utiles. Mon email : ebrabant@green-park.fr Tous mes voeux pour toute la famille et plein de magnifiques nav en France ou ailleurs.
Emeric BRABANT
14 février 2007, par Bertoux
Félicitations pour votre joli bateau. J’ai l’intention de le construire en amateur. J’aimerais donc vous rencontrer pour pouvoir prendre des photos de votre bateau. Pouvez vous me contacter à l’adresse suivante : p.bertoux@tiscali.fr
30 avril 2007, par jc
Enfin , je me croyais seul en Alsace … Tout d’abord , félicitétion pour votre mangnifique bateau qui a l’air confortable.. ma femme et moi nous en sommes à notre quatrième retauration. Nous venons d’acquérir une épave d’Edel 4 et nous comptons comme vous écumer les plans d’eau…Après avoir possédé différentes tailles de bateaux (nous sommes cinq) notre choix s’est orienté vers l’Edel..simple et convivial.. merci pour vos articles ..ils donnent envi de faire et c’est bien là l’essentiel.. Un jour aussi il y aura nos articles , enfin si l’administrateur le veut bien ..salutations nautiques à tous ……. Jean-Christophe
30 avril 2007, par Marc Jamois
…. mais comment donc cher Christophe ! Des articles !!! Des photos … n’hésitez pas à nous adresser tout cela !!!
bien amicalement – Marc
… et c’est valable pour tous les autres !!!
7 mai 2007, par Roger
bonjour, Et bien non vous n’êtes pas seul en Alsace !Notre plan d’eau de prédilection est à Plobsheim, a bientôt peut être
7 mai 2007, par Michel Cyprès
Bonjour, Vraiment par hasard, je tombe sur votre article, et je lis que vous avez restauré un Edel 4. J’en possède un et malheureusement, le plexi du hublot avant s’est cassé. Je cherche partout pour trouver une possibilité d’en acheter un nouveau. Peut-être, vous, pouriez-vous m’aider à sauver cette situation. Amicalement, Michel Cyprès
5 juin 2007, par Eric Grivet
Bonsoir Roger
et bien c est top, 8m en remorque, peux tu nous transmettre les coordonnees du chantier, de splans si il y a, nous recehrchons un transportable avec un minimum de confort pour naviguer a la fois en lac, cotier mer,
nous te remercions de tes informations
Eric & Pascale
12 juin 2007, par Roger
Bonjour
Ci-dessous les coordonnées du chantier, Octave est fabriqué dans un chantier sur les bords de la Rance.
Charpentes et Bois Marine, Port de la Minotais, 22490 Ploüer sur Rance, tel : 02 96 86 94 91
Si vous voulez des plans je peux vous transmettre quelques éléments mais il me faut vos coordonnées
Cordialement
25 juin 2007, par Grivet
Bonsoir Roger,
nou ste remercions pour les coordonnees du chantier, nous allons prendre contact, tu nous proposes de nous envoyer un plans , c est sympa, as tu un bref descriptif, email : ericgrivet@gmail.com
nous te remercions, car nous cherchons et peu simple de se faire une bonne idee, dans nos recherches, a la fois un bateau facile pour lac, croisiere et med, pour un couple, facile a la manoeuvre,
comment se comporte t il par tout temps,
merci
Eric et Pascale
19 février 2008, par Fred
Bonjour Marc,
Pourriez vous me dire le niveau des amenagements interieurs sur ce bateau ?
Serait interessant de pouvoir avoir des images plus grandes (JPG ?)
Merci
Frederic
11 mars 2008, par Roger
Bonjour,
Il y a six couchettes dont deux dans le carré utilisable plutôt par des enfants les quatre autres sont très confortables. Il y a bien sur une cuisine en L à coté du puit de quille et de l’autre coté on retrouve le cabinet de toilette avec un petit lavabo telescopique. A noter qu’il faut passer par celui ci pour aller dans la couchette double à l’avant. ENtre les deux couchettes arrière on retrouve le moteur IB diésel 10CV. Voilà vous trouverez des photos de l’intérieur du bateau sur le site. Désolé pour la réponse tardive j’étais en déplacement prof.
Cordialement
Petit dériveur lesté construit dans le début des années 70, le FoxTrot permet une navigation agréable et sans risque majeur, pour un budget démocratique. Très facile à tracter sur la route avec une voiture de puissance moyenne, il est aussi aisé à mettre à l’eau et à remonter. En navigation il autorise à son équipage beaucoup d’erreur, sans conséquence matérielle ou corporelle grave.
Malheureusement, les Foxtrot d’occasion ne courent pas les rues, car sa valeur relativement faible de revente en font un bon choix pour le débutant ou le désargenté. Selon son état général, son équipement, la présence ou non d’une remorque le prix varie de 1000 à 2500€. Mais certaines unités bien entretenues, choyées, modernisées par leur propriétaire atteignent des valeurs plus élevées, les possibilités de navigation et le plaisir de naviguer sont en général proportionnels.
Ce « dayboat » illustre bien l’adage : petit bateau, petits problèmes, petit budget. Correctement remis à neuf (si nécessaire), bricolé, voir réaménagé, bien équipé au niveau armement et matériel de sécurité, il peut permettre à un équipage réduit, pas trop regardant sur le confort, quelques jours de raid côtier car sa petite cabine (Long : 2.35 m / Larg : 1.55 m) munie de deux « couchettes » et de quelques possibilités de rangement, permet à 2 personnes de pratiquer le camping nautique.
Dans un autre registre, son grand cockpit invite à la ballade tranquille et au pique-nique en famille les jours de beau temps.
Il est très agréable à barrer dans des conditions normales de navigation. Personnellement, je le barre seul jusque 3 Beauforts de vent avec toute la toile, à partir de 4 Beauforts je prends 2 à 3 tours d’enrouleur sur le foc, et en cas de rafales plus fortes je prends le ris sur la GV. Ces réductions de voilure sont nécessaires en solitaire car le bateau est gîtard dès que le vent souffle un peu et le lest rappelle très tard, pratiquement quand le liston est à fleur d’eau ! A deux il est plus facile de compenser la gîte au rappel. Certaines unités ne sont pas équipées de sangle de rappel, il est indispensable d’en bricoler si l’on veut barrer au rappel et maintenir le bateau dans une assiette correcte, elles ajoutent aussi à la sécurité de l’équipage à la gîte. Sur ce genre de bateau, assez bas sur l’eau, les vagues posent plus de problèmes que le vent en cas de navigation par temps frais.
Voici ses principales caractéristiques :
Longueur de coque : 5.1 m
Longueur de flottaison : 4.3 m
Maître bau : 2 m
Tirant d’eau : 0.35 à 1.05 m
Déplacement : 315 Kg Lest : 83 Kg
Type de gréement : 7/8
Surface de voiles : +/- 12 m2
Réagir à cet article
Voilà, l’aventure Foxtrot se termine pour moi ! Après 4 ans de navigation sur mon vieil Orion, divers impératifs m’ont fait passer à une unité un peu plus lourde et plus habitable (ah la famille !), un Edel 5. Je garde quelques documents électroniques sur le foxtrot, si quelqu’un est intéressé…… Amicalement à tous. Thierry
Bonjour, Je viens de découvrir votre site. J’y ai trouvé beaucoup d’informations intéressantes et vous en remercie. Dans votre message du 3 août vous dites abandonner le Foxtrot et vous proposez des documents concernant ce type de bateau. En ayant acquis récemment un, je suis intéressé par les documents que vous proposez. Auriez-vous la gentillesse de me les communiquer ?
Merci par avance. Bien à vous, Xavier Dufour
Bonjour,je viens de lire votre mail sur le site « voilier transportable » malheureusement défunt(? ?). Influencé par la pertinence de ce site j’ai acquis un Fox-Trot en sept05, et aprés une petite saison de navigation j’entreprend une rénovation fiabilisation de cette sympathique unité. Ayant un peu avancé dans cette voie,il serait peut être plus facile de nous échanger des informations et conseils. A bientôt
Bonsoir, j’ai aquis un Fox-Trot en octobre 2005 en très mauvais état général, et après une rénovation hivernal (avec l’aide documentaire de Thierry et des amis) j’ai naviguer à la belle saison avec un day boat vivant et sécurisant. J’ai apporté des modifications sructurels (et modulaires : rangements complémentaires, etc)ainsi que sur certains éléments de navigation (bout dehors amovible, prises de ris, matage à 1 ou 2 personnes et transport du mat, etc). Si vous souhaitez des infos complémentaires pour une réno dans la limite de mes compétence ! A bientot : azert@neuf.fr
Jean françois, j’ai acheté un Foxtrot en Novembre 2005 avec un ami. Nous sommes entrain de le retaper. Il est poncé mais pour le repeindre, je cherche des conseils (n’ayant jamais fait cela) genre : couleurs Mono composant, …. combien de couches, au pinceau, au rouleau, quelle peinture pour la finition, …, qu’est ce que le gelcoat et à quoi ça sert, epoxy ?? je vais demander conseil dans un magasin, mais je voudrais aussi avoir avis d’une expérience.. Nous l’avons retourner à huit dans un garage sur des tréteaux donc il est plus facile pour le travailler. Si tu as repeint ou fait des réparations polyester, ce serait sympa de me renvoyer une réponse Merci Beaucoup de la part de BRIGBETT (le nouveau nom de notre Foxtrot) Alain
Bonjour,ayant été confronté à divers travaux de remise en état de mon »Fox-Trot »,je me permet de vous apporter ma modeste contribution : -dans le cas d’une peinture aprés ponçage, le choix de l’application d’un gel-coat(une résine de polyester)est une bonne option car conférant une bonne étanchéité à la coque. L’application est difficile, car cette résine n’a pas la fluidité d’une peinture. S’ensuivent de longues séances de ponçage. Ne pas prendre un gel-coat « de dèmoulage » qui lui restera poisseux. Pour la peinture proprement dite j’ai utilisé de la peinture automobile dite peinture « camion » à 2 composants à passer en 2 couches avec ponçage (fin) entre les 2 couches. Au préalable il y avait eut application de deux « primers » d’accroche, avec ponçage à chaque fois. Il va sans dire que le pistolet et le compresseur permettent de ganger du temps. La location d’un compresseur n’est pas trés onéreuse. Le Fox-Trot étant bas sur l’eau les inévitables petits loupés (rhaaa les insectes… !) ne se voient pas trop. Le choix d’une peinture bi-composants plus dure que la mono,permet de mieux resister aux inévitables petits chocs dans la vie d’un transportable. Quelques photos peuvent être jointes si ma participation vous interesse. Cordialement Jean
Tout d’abord merci Jean pour m’avoir répondu et éclairer ma lanterne. J’apprécierai énormément l’apport de tes photos. Entre le moment ou j’ai écris cet article et aujourd’hui, le foxtrot a été poncé, et je vais commencer à réparer les coups avec du watertite (enduit qui durci et bouche les coups et trous dans le polyester m’a t’on dit).Ce que je ne sais pas, c’est si l’enduit durci simplement ou gonfle. Quand tu parles du placement difficile de l’antifooling, as tu un truc ou dois je faire attention à quelquechose de bien précis qui pourrais m’aider ? Merci de toute façon et si tu es intéressé, je t’envoies aussi les quelques photos de Brigbett Salut Alain
Bonjour, je serais preneur pour des photos d’intérieur (avant et arrière) de FOX-TROT et les dimensions du capot arrière qui reste manquant sur CLEMANT. Salutations, Christophe.
Bonjour à tous les « Fox-Trotters », je dispose de l’essai de la revue « Bateaux », ainsi que de photos de mon Fox-trot en travaux, je suis à la recherche de tout autre document, ainsi que de conseils d’accatillage et aménagements spécifiques à notre day-boat. Voici mon adresse : huguet.jean@wanadoo.fr
bonjour
posseseur d’un fox trot depuis peu peux tu donner le numero de la revue bateau merci patrick salles
Aucun problème. Communiquez moi votre adresse email et je vous envoi le document. Cordialement.
Bonjour,
Je suis actuellement � la recherche d’un petit Dayboat d’occasion facilement transportable. J’ai rep�r� un Foxtrot suceptible de m’int�ress�. Pourriez-vous me faire part de votre exp�rience avec ce bateau ? J’aimerai notamment savoir si le Foxtrot se comporte bien en mer.
Amicalement. Gilles
Salut Thierry,
Depuis mon initiation à la voile du 07 Sep où j’ai passé une très agréable jounée, j’ai envie de m’investir dans ce sport qu’est la voile. J’ai lu ton article sur le FoxTrot (très bien expliqué),et je suis intéressé par les quelques documents électroniques, si tu en dispose toujours, cela me ferais plaisir d’avoir ces infos. Je te remercie Thierry et au plaisir de se revoir…… Amitié
Henri (Smitty)
bonjour novice dans la pratique de la voile, je suis sur le point d’acquerir un fox trot comme premier voilier. le but etant de m’entrainer sur plan d’eau et d’effectuer quelques sorties cotieres par la suite. desireux de mieux connaitre ce futur partenaire , je profite de l’ocasion de ton annonce concernant de la doc sur le fox trot. alors si c’est toujours d’actualite … en te remerciant frederic.groult@tiscali.fr cordialement
bonjours, possedant un fox trot et ayant peu d’experience en voile, je cherche un systeme permettant le matage seul de ce bateau ainsi que toute informations concernant l’entretien et la renovation. merci par avance et bon vent à chacun
bonjour je suis amateur de document concernant le Foxtrot, dans le but d’un achat proche. pouvez vous me faire parvenir vos docs ? merci de votre réponse
Bonsoir, si vous avez toujours des documents sur le fox trot, je suis intéressé.
Avec mes remerciements.
Gilles Fialip
J’ai toujours 1 ou 2 documents, donnez-moi votre adresse mail et je vous les envoie.
Bonjour,
je viens d’acquérir un Foxtrot (enfin je pense) modifié ; sur la carte c’est indiqué Jouet 18, mais à le regarder on dirait plutôt un Foxtrot auquel une quille fixe a été ajoutée… est-ce qu’il a été proposé comme ça à la vente ou cette modification a t’elle été faite plus tard ? quelqu’un connait un site ou un club dédié à ce voilier ?
tout document sur le Foxtrot est le bienvenu, merci d’avance,
gillesdemaillyNOSPAM@yahoo.com (retirer le NOSPAM dans l’adresse)
Bonjour, je viens de récupérer un fox trot de 1973. Je vais commencer une petite restauration. Il me manque le safran.Il faudrait que je trouve un plan pour en refaire un autre. Je suis preneur de tous documents se raportant à ce voiler. Merci d’avance.
Bonjour, je possède encore 2 photos de mon gouvernail FoxTrot. Si vous me communiquez votre adresse mail, je vous les envoie. Cordialement.
Thierry, Merci pour tous vos précieux conseils et articles que je consulte régulièrement depuis l’achat de mon Fox Trot, Isabelle. Je suis preneur de toute information sur le bateau (matage/dematage, sangles de rappel, accastillage, grément, aménagement intérieur, autres, …). Vous pouvez me faire passer tous les photos, plans en votre possession à : ericgratton@yahoo.fr Merci d’avance. Eric
Bonjour, suite à la remise en état du mien je peus vous envoyer les plans et quelques cotes. cordialement Christophe
Bonjour,
Propriétaire de l’Orion depuis août 2006, j’aimerais moi aussi pouvoir bénéficier d’un maximum de documentation concernant le fox-trot. Ce voilier est très agréable, et je lui réserve de « gros » travaux d’entretien d’ici l’année prochaine.
Je vous remercie d’avance et profite de la présente pour saluer Thierry !
Au fait, pourquoi ne pas mettre cette documentation en ligne depuis ce site ?
Pascal leicar8@hotmail.com
Concernant le message ci-dessus, mon adresse e-mail est leicar8@hotmail.com (et non pas pascal leicar8@hotmail.com).
Merci,
Pascal
Bonjour, Je viens d’acheter en fox trot en bon état mais la dérive est démontée et je suis perplexe sur la manière de la remonter. Quelqu’un aurait-il un plan ou des photos ?
D’avance merci.
Cordialement.
Je peux t’envoyer quelques photos concernant le safran de mon Foxtrot, mais ta démarche me surprend tant ce système est simple. Tu dois dans un premier temps emboîter les pièces de fixation du gouvernail sur deux ergots verticaux en inox, présents au centre de ton tableau arrière.
Une fois l’opération effectuée, emboîte correctement la barre du safran dans l’espace prévu à cet effet.
Des lors, ton safran est bel et bien en place, mais en position relevée. Cette position (à mon avis) est prévue pour te permettre de « beacher » facilement.
Pour abattre le safran en position verticale, il faut tirer sur les bouts qui, une fois tendus seront noués sur la barre afin de maintenir l’ensemble en position. (un dispositif pourvu de deux petits cylindres de plastic placés de part et d’autre de la barre t’aidera).
Pour photos, si nécessaire, envoies-moi ton adresse E-Mail
A+,
Pascal
J’ai eu quelques problèmes lorsque j’ai acheté mon foxtrot avec dérive coincée, je peux te donner quelques infos sur les réglages de hauteur de dérive que j’ai effectué après achat de « câblette » inox pour la manoeuvre & le système de blocage (2 trous sur le dessus de la dérive…). Mon problème c’est plutôt le web, je ne sais pas comment mettre des photos pour te répondre… voici mon adresse. email : o.goxe@free.fr olivierfox82. naviguant dans le Tarn & Garonne sur le plan d’eau de St Nicolas de la Grave. @+
Bonsoir, Pourriez-vous me faire parvenir (patrick.huyghe@freebel.net ou patrick.huyghe@scarlet.be) plan/photos avec échelle ainsi que la méthode de remplacement de la dérive (nouvel axe,…) ? Merci par avance ! Amitiés, Patrick
salut je viens d acheter un j17 a restaurer si tu avais quelques docs sur ce bateau cela m interresserait.
par avance merci
salutations
mail amoulet@wanadoo.fr
Bonjour, Je rénove actuellement un Foxtrot dont le propriétaire précédent a eu la malencontreuse idée de remplacer la dérive par une dérive « sabre ». J’aimerais profiter à nouveau de la dérive pivotante originale mais malheureusement ne dispose pas de plan précis ni de la méthode de remplacement. Pourriez-vous m’aider ? En vous remerciant par avance. Amicalement, Patrick
il te suffit de récupérer l’article paru dans voiles magazine et il y a le bateau complet et son echelle. Amicalemet Christophe
Bonjour, nouveau propriétaire d’un Jouet17, j’ai crée un site tout à son honneur à l’adresse suivante http://www.jouet17.ass0.fr. Il se construit petit à petit , donc n’hésitez pas à venir l’enrichir.
Olivier Cauvy
Voir en ligne : http://www.jouet17.ass0.fr
Nouveau possesseur depuis août d’un foxtrot à restaurer, je suis preneur d’informations. je suis plus particulièrement à la recherche des dimensions du mat, des voiles… Au plaisir d’échanger sur vos aventures. J’ai quitté mon flirt quillard, il y a quatre ans. J’ai trouvé ce dériveur avec grand plaisir. Je dois lui refaire un gros toilettage, une peinture, au printemps. J’attends avec impatience de naviguer dessus avec famille et amis. amicalement, RV
Bonjour,
Je suis possesseur d’un fox trot jouet 17 dont la plaque de jauge a disparu. On m’a dit qu’il s’agissait d’une plaque collée qui avait tendance à disparaître.
Je souhaiterais pouvoir la reconstituer mais je manque d’informations sur ce qu’on doit y faire figurer et notamment le nombre de personnes autorisées à bord et la certification d’insubmersibilié.
Pouvez-vous me donner ces informations ? Je vous en remercie par avance.
Xavier DUFOUR
ça y est, mon rêve se concretise. un voilier. Mon choix c’est porté sur un foxtrot, pour les raisons evoquées dans ce site.
j’aimerais avoir votre avis pour ce qui concerne son comportement en mer. je vais commencer par naviguer dans l’estuaire de la gironde puis m’aventurer vers les iles alentours.
j’ai quelques renovations a apporter aussi j’aimerais correspondre avec des proprio de foxtrot.
cordialement
vermesse.cedric@neuf.fr
je suis proprietaire d’un jouet 17 depuis deux ans il est tres facile a moneuvrer malheureusement la saison derniere j’ai dechiré mes voiles (foc et grand voile elle etaient d’origine) je vais redemarrer avec des voiles neuve(pour info 600€) dans une semaine. si besoin je peut transmettre des photos
Bonjour,
Si vous êtes encore propriétaire d’un jouet17, je vous propose de vous connecter sur le site que j’ai créer sur ce bateau étant nouveau propriétaire.
Vous pourrez ajouter des articles, poster dans le forum, déposer vos petites annonces et partager avec d’autres vos idées de navigations.
N’hésitez pas à faire passer le message.
Cordialement Olivier
Voir en ligne : http://www.jouet17.ass0.fr/
Quand on aime… On ne compte pas ! Ni son temps, ni son argent. Quand le coup de cœur est là, il faut foncer.
Pourtant l’histoire de “TITUS 3”, ex “Blue Pearl”, ex “Rêve Bleu” aurait pu s’arrêter aux pieds d’une remorque récalcitrante. Voilà donc l’histoire d’un Cap Corse qui nécessitait une petite réparation, et qui s’est retrouvé avec trois trous dans la coque, dont deux sous la ligne de flottaison ! Vous voulez en savoir plus ? Alors, n’hésitez pas.
Venez découvrir la résurrection de “TITUS 3” dans “TITUS 3, le retour” !
Où , comment il est possible en n’ayant que 10 jours de congés , de faire une navigation de 110 miles durant 8 jours en Suède, avec son propre bateau .
Où comment il est possible de naviguer en complète autonomie à 4 adultes pendant 8 jours, sans moteur , à bord d’un transportable de 7 mètres.
Nous avons participé fin août 2005 au 2ème Blekinge Archipelago Raid , randonnée ouverte aux unités voiles Avirons . Participer à un tel raid présente plusieurs avantages , les tracasseries administratives , stockage du véhicule et de la remorque , convoyage point de départ à l’arrivée, sécurité , nourriture ,hébergement pour les plus petits bateaux, sont pris en charge par l’organisation, maintenant tout cela à un coût , malheureusement élevé !
Nous participerons à ce raid en autonomie complète ( gîte et couvert à bord ), bien plus économique , le bateau nous le permettant à la différence de la majorité des autres concurrents dont les unités voiles avirons à coques ouvertes sont dépourvues de roofs. Cela n’enlève pas l’attrait de naviguer en flottille avec des équipages venus des quatre coins de l’horizon , et il est toujours amusant de régater juste pour le plaisir tout en découvrant de nouvelles contrées.
Le Blekinge est une jolie région au sud de la Suède , l’intérieur des terres est parsemé d’une Multitude de plans d’eau et de forêts et la côte débordée par un vaste archipel . Pour nous rendre à Hâllevick , notre point de départ , nous parcourrons 1840 km depuis Tréguier dans les Côtes d’Armor. Le bateau a été utilisé pour faire une halte sommeil durant le trajet , la suède ayant conservé sa monnaie ( le Krona ) nous préfèrerons faire notre avitaillement pour toute la semaine de navigation en Allemagne .
Nous avons pris le ferry à Puttgarden pour passer directement au Danemark , le billet du ferry sera combiné avec celui pour le passage du pont de l’Oresund reliant Copenhague à Malmö ( environ 100 € , aller , retour , à quatre + la remorque ). Hällevick notre base de départ est un joli petit village de chaumières dans un environnement verdoyant , la population est sympathique et débonnaire, on est ici bien loin de l’agitation effrénée de nos stations balnéaires . Nous découvrons la flottille bariolée et hétéroclite du raid, cela va du lourd voilier traditionnel du Blekinge museum aux modernes Plûmes gréés en cat-boat en passant par l’élégante baleinière des Açores .
Prise de contact avec les équipages venus de Grande Bretagne, Pays Bas , Allemagne ,Autriche , Belgique, Portugal ( Açores !) , Pays Basque Espagnol, Etats Unis , Suède , France , Nouvelle-zélande et Japon !
Ici la plaisance est simple , pas de marinas ultra modernes , les ports bénéficiant de tout les services, sont intégrés dans des anciens havres traditionnels, tout au long de notre périple , nous trouverons à chaque escale ( hormis Tjarö et Uttklippan ) , mises à l’eau , grues ( type SNCF) et sanitaires parfaitement entretenus , le tout en accès libre , sans compter les immanquables saunas et les étonnants barbecues publics , par contre pour l’avitaillement , il faut prévoir car nous ne trouverons aucun magasin d’alimentation durant notre semaine ( Hormis Karlskrona notre point d’arrivée ) , mais plusieurs petites citées côtières doivent pouvoir offrir ces commodités ( Ronneby , Karlshamn ) .
Durant cette semaine , nous aurons des conditions météos variées , le plus souvent sous un soleil radieux , le temps ici change vite un peu comme en Bretagne sud à laquelle on peut également comparer les températures à la même saison . Les conditions de navigation sont généralement aisées pour nos petits bateaux , multitudes d’abris s’offrent ( petits ports , mouillages forains à profusion ) , pas de courant , pas de marées , il faut cependant se procurer des cartes précises ( possibilité de les commander par internet sur le site www.nautiska.com , contact, info@nautiska.com les cartes 821 Utlängan/Tärnö et 822 Karlshamn/Ahus ) car la région est plutôt caillouteuse et en dehors des chenaux principaux balisés de perches , les dangers parfois isolés ne sont pas signalés . ( notre dérive s’en souvient encore !) La Baltique peut se lever vite , un peu comme en Méditerranée ( par contre elle est quasiment douce !) , c’est une mer sombre ( à comparer aux grands lacs) et il est difficile dans ces conditions d’en « lire » la surface, les dangers n’étant pas visibles suivant les teintes de l’eau. C’est cependant une mer propre , nous ne verrons pas de rejets sur les rives ni sur l’eau , elle est par contre peuplée en cette saison d’innombrables petites méduses, à priori sur cette partie de la côte inoffensives à la différence de celles de la côte ouest qui seraient urticantes selon les pratiques locaux . On trouvera peu de plages de sable , mais l’accès à la mer est généralement facile , la côte basse généralement composée de gros blocs granitiques plats, parfois de prairies , s’apparentant le plus souvent à celle d’un plan d’eau intérieur. Les petits moustiques nordiques ne nous importuneront qu’une seule soirée sur l’île d’Arpo ,ce qui nous permettra d’accepter l’hospitalité du petit club house local et de profiter d’un bon sauna. Je garde le meilleur pour la fin , beauté des paysages ( à ne pas manquer les îles de Tjäro et d’Uttklippan ) , les magnifiques bateaux de plaisance classique , et surtout l’accueil des Suédois qui , partout où nous sommes passés ,se sont montrés , simples , avenants et toujours prêts à vous rendre service ( proposition de réparation gracieuse de notre dérive ) , l’anglais étant cependant la langue indispensable pour communiquer.
En deux mots , Allez y ! Cette balade nordique aura permis de démontrer la parfaite adéquation d’Eärendil notre Kbane 7.10 pour ce type de navigation , nous y avons vécu confortablement durant 8 jours , sans nous bousculer , la multitude de rangements du bord permettant de trouver à chaque instant ce que nous avions besoin et le grand cockpit avec sa table amovible de recevoir à l’escale les autres concurrents, voir de sympathiques autochtones , pour l’apéro.
P.S ( Le récit de nos pérégrinations dans l’Archipel du Blekinge fera l’objet d’un prochain article sur le site Nautical trek .
Mâter un Blue Djinn est une opération facilement réalisable à deux, à condition de bien préparer l’opération et de disposer de quelques accessoires.
Indispensable tout d’abord, une fourche pour supporter le mât à l’arrière, sur mon bateau j’en ai deux : une pour le transport et une plus haute pour le matage. Tout ceci est réalisé en PVC :
Il faut ensuite reculer le mât pour présenter le pied sur le sabot fixé sur le roof.
La première difficulté consiste à enfiler l’axe dans le pied de mât pivotant… système cagneux… ah une bonne paire de jumelles de pied de mât… bon je n’y reviens pas… la fourche est ici indispensable pour présenter le mat avec le bon angle et ne pas avoir à le tenir à bout de bras pendant que l’on enfile l’axe… Il faut pas mal « titiller » pour réaliser l’opération … donc avec la fourche : pas d’efforts démesurés.
Une fois le mât fixé au pied, il n’y plus qu’à le dresser : un équipier soulève le mât et accompagne le mouvement tout au long de la montée, en escaladant au passage le roof… La deuxième difficulté c’est de ne pas partir en biais sinon … adieu le pied de mât (les forces exercées sont très fortes), l’autre équipier tire sur l’étai (l’enrouleur) une fois à la vertical il n’y a plus qu’à fixer l’étai et le tour est joué.
Attention également :
vérifier que les ridoirs sont bien positionnés et ne risquent pas de se tordre pendant l’opération
attention aux poulies de pied de mât : si l’une se glisse sous le mat : bonjour le casse noisettes !
également attention de ne pas pincer le câble de l’électricité qui sort du tube (feu de hune)
Ils ont écrit à propos de ce bateau :
Reponse au sujet : bateau transportable -C’est vrai que l’Agrion 650, comme ca, a l’air super interessant, d’ailleurs j’ai envoye un fax au chantier… En effet je suis a moitie dingue de regate mais aussi de petite croisiere cotiere, mais j’attends toujours une reponse. C’est tres vrai aussi que les bateaux comme le T7, kelt 707, et autres des annees 80 sont tres lourds pour etre remorques.. Mais ils ne sont pas trop chers et apres tout on m’a bien livre mon T7 derriere une CX (ou equivalent car c’est assez vieux)—- Bonne derive j.legeraATree.fr
L’Agrion, j’ai essayé, pendant deux ans, sur le prototype réalisé par le chantier belge Agrion Marine, avant qu’il cède son outillage à Soubise. En résumé : l’habitabilité d’un 7,50 et le poids sur remorque d’un 5,50. Je le remorquais couramment avec une Citroën C15, jamais la moindre surprise sur la route. Mise à l’eau aisée, remplissage des ballasts par gravité, mais il faut terminer à la pompe. Une bulle d’air laissée dans le caisson donne une sensation désagréable lors des virements de bord : le bateau s’arrête d’abord vers 15 degré de gite, puis se met à accentuer lentement sa gite jusqu’à 25°, le temps que toute la bulle ait terminé son virement de bord. Principal inconvénient : le manque de coffres sous les couchettes, mais un important volume sous le cockpit se gère facilement à l’aide de bacs en plastique. Sortie de l’eau en deux temps : toutes vannes ouvertes, monter le bateau sur la remorque (l’étrave verticale ne facilite guère la manoeuvre), avancer de quelques mètres et aller boire un verre. Quand le bateau a cessé de se vider, on le manipule comme un Micro… Sur l’eau, le bateau est grisant. La surface vélique généreuse et le poids en charge limité permettent des surfs (d)étonnants. Au près serré, le bateau peine, c’est dû en partie à un gréement trop ouvert. philippe.detroyATswing.be
L’Agrion offre 3 grandes couchettes simples et une double. J’avais néanmoins agrandi cette couchette double, le principal inconvénient étant que l’épontille passait par le milieu de la couchette. Si la pauvre épouse est une victime, embarquée de force à bord, je crains qu’on ne puisse pas grand-chose pour elle. Mais sur l’Agrion, un bouchain très bas limite énormément les coups de gite. Ce qui risque de coincer avec plus de certitude une adulte qui n’a pas été dégrossie aux Glénans, c’est sans doute l’absence de WC. Même un WC chimique trouvera difficilement une place correcte à bord d’un bateau de cette taille. Avec l’Agrion quillard, il pouvait encore se glisser sous le cockpit, mais avec le dériveur, rien à faire ! Enfin, on compte souvent sur sa partenaire pour la cuisine, et sur l’Agrion, le coin cuisine est si rudimentaire que la pauvre aura sans doute beaucoup de mal à s’épanouir. philippe.detroyATswing.be
Powered by WordPress. Theme: TheBuckmaker. Zinsen, SqueezeBox