Celui que nous possédons est de 1985 acheté d’occasion en 1989 Nous nous en servons sur 2 facettes L’une configuration régate 6 mois par an sur lac (Vouglans dans le Jura) , dans le contexte club uniquement Avec pour adversaires : Microsail, Neptune 5.5, Gib-sea 24,First 22,24,26,211, Tonic 23 etc.. Sur un quinzaine de bateaux généralement engagés , nous finissons 4eme dans le plus mauvais des cas . L’explication est que ce bateau est rapide sur eau plate , boosté depuis la mise en place d’un génois Mylar , atteignant sa vitesse limite dès force 2 .Ce qu’il craint le plus ,c’est que la vitesse ne soit cassée par une vague et dans ce cas là, il est excessivement long à se relancer . L’autre configuration ; chaque année nous partons en croisière sans souci de vitesse 3 semaines que ce soit en Bretagne sud , Bretagne nord avec virée en Angleterre, ou au Danemark . C’est un bateau très confortable , très marin , sûr et facile d’entretien .La taille et le poids sur remorque ne sont pas handicapants , largement compensés par la stabilité et la manoeuvrabilité d’une remorque 2 essieus y compris en marche arrière Le véhicule tracteur a été pendant 10 ans une 505 2.5 diesel remplacé depuis 2001 par un Land Discovery 2.5 Td Conclusion : A nos yeux rien ne peut remplacer actuellement ce bateau qui nous colle à la peau
Merci marc pour cet article : voici ce que nous attendons tous, un programme, ici régate en club en plan d’eau intérieur et balades au long cours... tu nous précises le véhicule tracteur... Bref du concret, pour alimenter le débat je suis un inconditionnel des Etap ayant eu un 22i (...) tracté aussi par un break 505 Pigeot essence ! le 23 m’a souvent tenté mais ce qui me fait reculer c’est le poids du bateau... déjà avec le 22i c’était limite et encore je pouvais le mettre à l’eau sans grue mais la taille au dessus ... Toujours le problème du compromis, de l’équilibre à trouver entre un bateau confortable en croisière donc volumineux et la facilité de manutention, remorquage, mise à l’eau... Non vraiment, encore une fois, rien ne remplace les témoignages pour se faire une idée.
Merci pour l’accueil à ma modeste contribution , Avant L’Etap 23 , nous avons possédé pendant 8 ans un Microsail tracté derrière 205 Diesel , avec pour programme les régates clubs et régionales ; et sorties en mer une fois par an ,limité en 5eme catégorie . Nos navigations côtieres étaient entre Houat , Hoedic , Belle-île , en partant de Port Haliguen ( Quiberon) et en passant par le golfe du Morbihan et la Trinité-sur-mer. Nous étions plus jeunes avec un confort spartiate qui pour l’époque ,1981 à 1989 était suffisant pour 3 semaines à 3 La mise à l’eau avec remorque cassante se faisait sans problème en eau douce , mais en mer nous avons toujours fait gruter pour ne pas endommager les roulements de roues dans l’eau salée ( le prix du grutage équivaux au prix des roulements avec l’avantage de ne pas perdre la roue si l’oxydation avait fait son oeuvre pendant les 3 semaines d‘arrêt de la remorque) En changeant de bateau nous avons gardé le même principe . Nous avons choisi l’Etap 23 plutôt que le 22 pour ne pas être tenté par « le mètre de plus » quelques années plus tard . Pour la mise à l’eau à Vouglans , un bout de 30 m est attaché à la voiture et à la remorque ,qui est poussée à l’eau jusqu’à la flottaison du bateau puis la remorque est retirée par la voiture et ceci 2 fois par an . Nous sommes une quarantaine de bateau au club (Jura Nautic Club) à employer cette méthode sans soucis . Le poids tracté n’est qu’illusion ; un petit ,un gros même combat . Bien sûr il faut le permis E mais la conduite n’est pas très rapide ( à la vitesse des camions ) donc pas de stress pour doubler ce qui induit une conduite peu fatigante . Le principe est le même que pour un petit bateau il faut anticiper et que le matériel soit entretenu ; gonflage , graissage (beaucoup) , équilibrage du bateau, poids sur la boule en fonction du poids tracté ( dans mon cas 75kg sur la boule ) et point très important pour une remorque 2 essieux ,la hauteur de la boule pour avoir une remorque horizontale . Je ne suis jamais parti en lacets ,ni fait de frayeurs , le tout en roulant à allure raisonnable et en prenant les déviations 3.5 T Au sein de notre club ,les incidents sont rares si ce n’est cette année une remorque qui s’est détachée ( voir Voiles et Voiliers de FEVRIER 2004 page 105) A Bientôt Marc
Bonjour, j’ai répondu à votre message du 2/11/04 le 04/11/04 mais je n’ai pas eu de réponse. A moins d’un contre temps, je pense que vous n’avez pas reçu cette réponse directe par mon mail. Je reprend contact par l’intermediaire de ce site en joingnant ma réponse. Excusez moi si ce n’est q’un manque de temps. A bientot. Joel
Ma réponse du debut Novembre : Bonjour, non je ne suis pas ce Joel CHOPIN puisque je suis à BORDEAUX. Je vous avais deja contacté au debut de l’été avant d’avoir trouvé mon bateau. Plusieurs questions : Je ne dispose que du manuel utilisateur de l’etap 23 mais pour le rénover et compléter son acastillage, j’aurais plutot besoin du manuel technique (Ex : ou sont les renforts de pont pour fixer des bloqueurs ou des cadenes etc ...). Savez vous si on peut le trouver sachant que Etapyachting m’a répondu par les adresses des concessionnaires Etap en France. Je crois que vous remorquez votre Etap sans pb. J’ai acheté une remorque mecanorem mais les chandelles sont probablement mal disposées donc pourriez vous m’indiquer, par photos ou plan, l’emplacement précis des chandelles de la remorque et peut etre d’autres recomandations concernant la position du bateau et le transport. Je dois changer les bancs de cockpit car ils sont cuits, je dois aussi décaper l’antifouling pour rénover l’ensemble du gelcoat et accueillerais avec plaisirs toutes suggestions à ces sujets.
En esperant ne pas abuser, à bientot.
Cordialement
Joel
j’ai un Etap 20 dont je relève la quille 200 kgs avec une perceuse visseuse de 18 V ( Ryobi pour ne pas faire de pub, et à qui j’ai adapté l’extrémité de manivelle ) j’ai 4 batteries ( 2 sont suffisantes pour une sortie. je met 30 sec pour descente et 45 pour remontée en vitesse mini de la visseuse ( 1 et non pas 2 ) pour ne pas abîmer les pignons de transmission. Donc 300 tours !! pas le temps de les compter. Par contre ce qui est abîmé parfois c’est le roulement sous le pignon de transmission avec la vis sans fin : roulement que l’on trouve facilement chez fournisseur de transmission meca indistincte, et qui est facile à changer soit-même .
Bonjour, Merci pour votre article très intéressant. Actuellement heureux propriétaire d’un kelt 620 quillard, je recherche son grand frère (volume, confort ...). L’Etap 23, que j’ai inspecté de l’extérieur sous tous les angles me parait correpondre en tous points à mon idéal (plan de pont, proportions ....) avec toutefois ces deux questions : 1 - le système de remontée de quille est-il adapté à une utilisation pour un mouillage dans une vasière qui découvre, ce qui nécessite une remontée et une desente de quille entre chaque sortie. J’ai lu dans une notice qu’il est nécessaire de faire 300 tours de manivelle pour relever la quille des 70cms de sa translation. Est-ce bien le cas ? quelle est la pénibilité et la fiabilité de ce système (usure, temps nécessaire à la manoeuvre, mise en ouvre en solitaire en fin de navigation avant d’aborder le mouillage)
2 - Quid de la remontée au vent dans un bon clapot etune mer formée ?
Merci pour votre avis. Cordialement
Bruno Dalaine
Bonjour,
Je n’ai pas eu d’ETAP 23 mais un 22i (pas trop éloigné au niveau taille).
Ce que je peux dire : l’ETAP est un quillard ! Ce qui signifie que l’on descend la quille après la mise à l’eau et que l’on n’y touche plus ! Sauf cas exceptionnel ...
J’ai du changer un pignon de remontée de la quille (au départ ils étaient fait fait en nylon (qui s’est "bouffé") remplacé par un pignon en acier inox.
J’avais envisagé un bricolage avec une perceuse sans fil pour automatiser la manoeuvre (jamais réalisé)
Peut être d’autres utilisateurs auront un avis différent du miens ???
Cordialement - Marc
Bonjour, Je possède également un etap 22i que j’hiverne au pontont mais malheuresement l’été je suis à l’échouage, alors j’ai également des problèmes de remontée de quille.Je la descends manuellement à la manivelle et pour la remontée j’utilise une perçeuse sans fil(la batterie de la perçeuse doit-être rechargée à chaque fois) je réalise l’opération en navigant à environ 2 à 3 noeuds dans le chenal. Je me pose cependant la question de la tenue du système mécannique dans le temps,est-il réellement prévu pour fonctionner aussi souvent ? Et pour l’entretenir le graisser est-il nécessaire de soulever(grutter) le bateau ? je suis preneur d’information. J’ai également le soucis du béquillage et la j’ai remarqué que bien souvent mon bateau se pose légèrement sur l’arriére si bien que le bas du moteur sert de 3ème béquille là aussi je suis preneur de solution ,merci.J’ai d’autres interrogations et je serai favorable afin de rendre le site un peu plus dynamique de fusionner les etap 22 et 23 qui sont des bateaux très proches.
Etapement et amicalement Jean-Yves
Bonjour A la recherche de renseignements sur le 22i, je parcours les documents que je trouve sur le net. Si cela se met comme prévu, il me sera donné de faire l’acquisition de celui-ci dans les prochains jours. Pourriez-vous me dire où je peux avoir des références sur les prix d’occasion (une fourchette) bateau remorque grément (ancien sauf génois 2 an) full options prix demandé 11500,00€ Qu’en diriez-vous ?
Y a-t-il des rendez-vous d’Etap 22(i) 23& co sur la belgique ou la zeeland ?
Merci de votre réponse
Que bonne soit votre journée
Bonsoir , Il est vrai que d’année en année ; je trouve la manoeuvre de remontée un peu plus fastidieuse mais rien de très difficile , une série de 100 tours , 1 minute de repos et retour au labeur .
Il nous arrive même de remonter la quille pendant que le voilier marche à 3 nds dans l’entrée de Sauzon quand nous sommes un peu juste en horaire et là c’est un peu plus physique
La remontée prend aux environs de 3/4 minutes mais a l’avantage se faire un peu d’abdominaux
Pour la Réponse de Marc je n’ai pas eu à ce jour de problème de poulie ; j’ai démonté depuis 1989 2 fois la tige filetée pour la graisser . Moi aussi j’ai commencé un système électrique avec un moteur d’essuie glace que je n’ai jamais terminé
Pour la remontée dans le clapot ; il faut absolument ne pas faire taper le bateau dans la vague sinon "scotché " et très difficile à faire repartir l’idéal est de faire un peu moins de cap et tout se passe très bien Il est évident que c’est un bateau très marin mais dans le clapot ce n’est pas un régatier
A votre service pour d’autres questions
Salutations
Marc