Quel type de bateau convient-il le mieux en matière de transportable ?
Pour répondre à cette question, il faut au préalable bien préciser le programme et dans un premier temps mettre de côté le problème du véhicule tracteur pour ne pas définir le bateau en fonction de la voiture qui va le tirer.
Premier programme : l’objectif est la croisière donc un habilité maximum. Le choix d’un transportable se justifie d’une part pour résoudre le problème des places de port et d’autre part de permettre un changement de zone de navigation.
Conséquences pour ce programme : logistique importante qui impose un véhicule tracteur puissant, le permis E et des manutentions qui nécessiteront une grue pour la mise à l’eau.
Répondant à ce programme, on peut citer :
First 24
Tonic 23
B Jet
Octave
Deuxième programme : l’objectif s’approche du premier, mais on veut simplifier au maximum la logistique : éviter le permis E et pouvoir effectuer toutes les mises à l’eau de manière autonome sur une cale. Dans ce cas la limite raisonnable en taille/poids se situe à 6,50 et le dériveur intégral constituera un atout indiscutable pour les manoeuvres de mise à l’eau. Tout "ce qui reste sous la coque" quille rétractable, basculante, saumon etc. ... sans être complètement rédhibitoire constituera une complication pour descendre et surtout remonter le bateau sur la remorque.
À noter une option qui n’est pas souvent retenue : le lest liquide ... Pourtant l’idée est séduisante, plutôt que de traîner du plomb sur la route, mieux vaut laisser son lest sur la cale en vidangeant le ballast... Peu de bateaux ont retenu cette option, à ma connaissance : le Moustique (5,50m) et l’Agrion (6,50m).
Dans les 6m/6,50 on retrouvera les Edel (600, 660...) les Etap 22, 22i, 21i, les First 22, 210, Blue Djinn, Bahia, Flirt, Sun Way, Sun 2000 ...
Troisième programme : les petits transportables c’est-à-dire les micros (à vocation plutôt sportive) et les Maraudeurs, Globe... le poids se fait léger donc facile à transporter, à mettre à l’eau... En contrepartie l’habitabilité est réduite et l’on se rapproche plutôt de l’idée du camping nautique.
Reste enfin le secteur des petits multicoques, plus léger (pas de lest à traîner) mais une habitabilité plus réduite et surtout des budgets plus conséquents... Plutôt trimaran que catamaran... Encore que ?
Du camping nautique (Astus 21) au modèle plus importants comme les Corsairs le choix s’étoffe chaque année davantage.
Bonjour Marc,
Je suis entièrement d’accord avec votre analyse et pour cause je suis passé par les trois types de bateau. J’ai changé de bateau et donc de programme en prennant de l’âge et des enfants. Un plus gros bateau permet d’envisager d’autres horizons mais il est vrai au prix d’une logistique un peu plus contraignante. Mais finalement je me suis bien accommodé à ces problèmes surtout que petit ou gros transportable je me suis vite aperçu que je ne déplaçait pas plus souvent mon bateau de zone de navigation. Ce sont les passionnés de régates qui déplacent le plus souvent leur bateau, souvent du type micro et rarement en famille ce qui facilite les choses. A chaque bateau son programme on revient toujours à la même conclusion, en tous cas je conseille tout de même de commencer avec un petit transportable ... pour voir !
je suis un peu surpris ,je ne pensais pas qu’il etais possible de tracter un voilier type blue djin sans le permis E avec une voiture moyenne type picasso ;amicalement :jacques
Attention ! Pour le Djinn7 le permis E est quasiment obligatoire mais ce n’est pas le cas pour le Blue Djinn... Il s’agit de deux bateaux différents ! Le Djinn 7 est donné pour 1160 kg de déplacement lège et le Blue Djinn 900 kg...
Cher marc,
La nuance entre un dériveur lesté et un dériveur intégral me semble de taille. J’ai un edel 600Q et j’ai vite compris l’intérêt du dériveur. Mais histoire de ne pas changer pour rien, je voudrais savoir si on peut réellement mettre à l’eau un bateau comme l’edel 600Dl l’éclair, le first211, etc.. ou si des bateaux comme les blue djinn, Dufour T6 et midget sont beaucoup plus à leur aise. Mon objectif est vraiment la sortie à la journée en passant par la cale. A noter qu’il est bien dommage que la philosophie Hunter ne soit pas parvenu jusqu’à nous car en observant attentivement ces bateaux on voit qu’il combinent avantageusement le concept de dériveur intégral et le lest liquide.
Il est évident qu’un dériveur intégral sera toujours plus aisé à mettre à l’eau et à remonter sur la remorque... sans immerger les roues de la remorque. Pour un dériveur lesté... c’est beaucoup plus dur surtout si on ne veut pas tremper les roues...
Encore une fois je fais une différence entre mettre à l’eau et remonter le bateau sur la remorque. la première manoeuvre étant plus facile...
Pour des sorties vraiment à la journée et pour pour que les choses se fassent sans peine il faut absolument un bateau léger, par exemple un Maraudeur se remonte comme un dériveur léger !
Pour alléger le poids du bateau deux solutions : le lest liquide... on laisse le lest sur la cale ou bien le multicoque. C’est une formule à étudier un bateau comme l’Astus par exemple est abordable question prix...
Dans votre programme N°2 (Logistique allégée, sans permis E) vous citez le FIRST 210. A priori ce bateau affiche 1100 kg, tenant compte de ce paramétre et voulant tracter derrière une JEEP Cherokee (PTAC 2230 kg PTRA 4630 kg PV 1545 kg), je ne trouve pas de remorque qui soit capable d’accueillir le bateau convenablement et qui reste sous la barre du permis E !!! Remorques TOURNIER, SUN WAY ???? D’avance, Merci de votre aide,
Avec PTAC 2230 kg PTRA 4630 , votre limite tractable est 2400 kg ; pour un bateau de 1100 kg, la remorque doit peser environ 450-500 kg ; donc tout est jouable avec des accessoires ; mais il ne faut pas espérer échapper au permis Eb, applicable à toute remorque au dessus de 750 kg de PTACb c’est à dire poids total : remorque+bateau+accessoires (compter 10% du poids du bateau seul)
Le passage de ce permis est difficile, mais combien enrichissant pour ce qui est de la sécurité et de la pratique ensuite....
bonsoir Marc Comme j’ai commencé sur mon Flirt "NINA", je continue. A priori, pas de débat sur ce voilier ! Pourtant, je pense que le nombre de Flirt en état de naviguer doit être relativement nombreux. je n’ai pas trouvé de site dédié ou perso sur le Flirt ; Avez-vous des pistes à me donner ? J’ai aussi une question sur le transport, j’y reviendrai. Merci pour votre réponse
Pour le "maxi transportable" , il faut tenir compte de la largeur : 2,55 m limite (hors convoi exceptionnel, avec toute sa logistique) et 3500 kg limite de poids de l’ensemble bateau (avec ses pleins)+remorque+accessoires+effets personnels : ceci vous laisse environ 2400 kg pour le bateau seul
On peut alors trouver des bateaux qui présentent 4-5 couchettes et un confort acceptable
Je possède moi-même un COBRAMOLD Leisure 23SL : 450 fabriqués en G-B , 3 en France !
c’est un biquille tout à fait adapté à la Bretagne et à l’Atlantique.
Et là, sur le concept mono ou biquille, ou entre quillard et dériveur intégral, on rentre dans un choix fondamental : veux-t’on visiter les mouillages sauvages des côtes à marée ? ou veux-t’on naviguer en style méditerranéen ?
Chacun doit s’interroger sur le programme de navigation qu’il veut réaliser....
Je ne suis pas d’accord sur votre analyse du lest liquide " Pourtant l’idée est séduisante, plutôt que de traîner du plomb sur la route, mieux vaut laisser son lest sur la cale en vidangeant le ballast... " A coque et poids de lest identiques, le bateau avec un lest liquide aura son CG beaucoup plus haut que celui avec un lest solide, ce qui aura pour conséquence une distance CG/CC minime, donc un couple de redressement extrèmement faible. Si on pousse à l’extrème, en mettant un lest en plume de même poids , nous verrions le CC/CG inversé, c’est à dire que le bateau aurait une tendance naturelle à chavirer tel le Pitalugue. Petit rappel : CG = Centre de gravité CC = Centre de Carène Lest liquide = densité 1 Lest en fonte = densité 7,3 Lest en plomb = densité 11,3 Uranium appauvri = densité 18,7
Conclusion : lest liquide = poids mort = volume perdu qui serait mieux utilisé pour en faire une cave à vin.
Dans ce débat tout est affaire de compromis ... Bien évidemment l’eau n’ayant pas la densité du plomb on n’aura pas le même rendement avec les deux types de lest.
Un lest liquide sera donc un compromis : moins de raideur à la toile au profit d’un transport et d’une manunentions plus aisés.
Il est vrai que peu de bateaux ont retenu cette formule, l’Agrion en est un exemple.
Je maintiens toutefois que l’aspect "transportabilité" est sous étudié par la quasi totalité des chantiers, cet aspect des choses est toujours traité de manière secondaire voir pas du tout...
Réduire le poids d’un bateau en vue de son transport est un des paramètres les plus importants. Encore une fois il s’agira d’un compromis, le problème c’est que cela ne doit pas empièter sur la sécurité et il faudra donc admettre que le domaine de navigation sera probablement plus réduit.
Sinon il ne reste que la voie des multicoques...
En résumé soyons clairs et accordons nous sur la notion de "voilier transportable". Sous ce vocable différents programmes sont envisageables, et tous sont des compromis ...
Mais, LE bateau lui-même n’est-il pas un immense compromis ? Cordialement.
Vin ou eau chacun son liquide, en tous cas il ne faut pas oublier un détail le lest liquide a aussi pour effet en augmentant le poids embarqué de changer la surface mouillée et par ce fait seul on augmente la stabilité de forme. Je pense qu’une combinaison de deux types de lests est très intéressante on peut même envisager des combinaisons très sympathiques par ex : deux vaches à eau dans un même endroit, un eau douce et un eau de mer. On remplie celui pour l’eau de mer au fur et à mesure que l’eau douce est consommée. On peut aussi mettre du vin j’en convient. Et voilà plus de place perdue.On peut faire la même chose avec les boîtes de conserves, les bouteilles d’eau et tous les liquides du bord. Cela permet de naviguer à poids constant et c’est très appréciable.
Cordialement
Roger,
Désolé de te contredire mais le lest liquide ne changera en rien la surface mouillée. Un kg de plomb ou un kg d’eau ou un kg de plume ça fera toujours un kilo.
A la gîte il changera la FORME de la surface mouillée par son CG situé plus haut mais ne changera pas non plus la stabilité de forme, sauf s’il déforme la coque :-)))
Ton histoire de vaches à eau et de boites de conserve sous-entend que l’on dispose de beaucoup de volume sous le plancher, ce qui n’est pas trop le cas dans des voiliers transportables.
Parlons volume donc : une gueuse de fonte de 20 kg sera une feuille de papier de 4,5 cm d’épaisseur environ. Il en faut 20 pour tapisser le fond d’un bateau comme le TES 678, ce qui remplit juste l’espace entre le plancher et le rond de la coque. Pour avoir l’équivalent en lest liquide, il faudrait loger 400 litres d’eau (je dis bien QUATRE CENTS) Je te laisse le soin d’imaginer
Marc, Il y a un domaine qui ne souffre d’aucun compromis, c’est celui de la sécurité, ou alors il faut préciser que le domaine de navigation restera celui d’un dériveur ou d’une planche à voile.
A quoi fais-tu allusion lorsque tu parles de multicoques ? Pas une référence à la sécurité j’espère !!!! Ni à l’habitabilité non plus !!!
La notion de "voilier transportable" sous-entend également la notion d’ "habitable"
Cordialement à tous
la surface mouillée change parce que le bateau est plus chargé avec ses ballasts remplis que sans. Il faut comparer ça par rapport à un équivalent en lest plomb par exemple en bout de quille. A savoir pour reprendre votre ex de 400l d’eau qui pourrait être remplacés par peut être à la louche 50Kg de lest en bout de quille et bien la différence de 350 kg va bel et bien changer la surface mouillée puisque la bateau sera plus enfoncé par la charge. Pour les vaches à eau ce qui est souvent pratiqué c’est de les mettre dans le carré sous les banquettes il n’y a bien sur pas assez de place sous les planchers. J’ai pour ma part eu l’occasion de naviguer sur un bateau un fois équipé de lest plomb et une autre fois de ballasts je n’ai pas vu de différence de stabilité, il y a bien sur la place perdue par les ballasts à prendre en compte. Keep cool
...A quoi fais-tu allusion lorsque tu parles de multicoques ? Pas une référence à la sécurité j’espère !!!! Ni à l’habitabilité non plus !!!
La notion de "voilier transportable" sous-entend également la notion d’ "habitable"
...
Quand je faisais allusion à un multicoque c’est évidemment à l’absence de lest que je faisais allusion, donc un bon point pour alléger le transport sur remorque.
Maintenant les multicoques sont chers et n’ont pas la même habitabilité qu’un monocoque (je ne parle pas évidemment des gros catamarans qui sont des appartements flottants !
Dans les "petits" du style Astus 20, la cabine est minuscule et l’habitabilité se conçoit en extérieur avec une tente sur les trempolines par exemple.
Au niveau de la sécurité la vitesse de ces bateau est un élément très appréciable quand on navigue en croisière côtière : on peut facilement regagner un abri et il est souvent possible de se réfugier sur la plage pour se mettre au sec...
J’ai eu l’occasion une fois de naviguer sur un Corsair 24 pieds : un superbe bateau très bien conçu pour le transporter, le mater etc ... Mais il est certain que la taille de la cabine n’avait rien à voir avec un monocoque de 24 pieds ... par contre question prix ... laisse tomber !
@+marc
Marc,
Je ne pense pas que l’on puisse classer les multicoques dans la catégorie des voiliers transportables habitables, ou alors c’est du camping nautique. Je me rappelle ce couple de Hollandais rencontrés en Croatie, qui naviguaient en catamaran "habitable" où chacun dormait dans sa coque-cercueil et se retrouvaient sur le trampoline - :))) Quant à l’aptitude de remonter au vent de ces bateaux, il vaut mieux la passer sous silence. Se réfugier sur la plage ... hum ... Mais alors une plage sous le vent....autrement dit quand on n’a pas besoin de s’y réfugier.
Roger,
Je crois qu’il est inimaginable de naviguer à la voile balasts vide sur un voilier à lest liquide (déja que balasts pleins...bon !) , donc la question de rempli ou vide ne se pose même pas. Nous parlons bien de voiliers transportables habitables, donc le quillard est marginal, surtout avec les nouvelles règlementations du poids tractable. J’ai eu un quarter-tonner il y a longtemps, et j’ai donné pour les problèmes. Les vaches à eau et les boites de conserve dans le carré sous les banquettes, on appelle ça du poids, pas du lest. Grosso-modo tout ce qui est au dessus du CC c’est du poids, tout ce qui est au dessous c’est du lest, et plus c’est dessous, plus le bateau est raide. Les quillards de régate appliquent cette règle au maximum (Requin, Dragon, Class América, J Class )j’ai fait un raccourci évidemment. Leur CC est très haut, peu de poids en haut et leur CG très bas, beaucoup de lest en bas.
Cordialement à tous
Bonjour, à propos du lest et du programme de nav que vous recherchez je vous suggère d’aller voir du côté des praos. Il n’y en a pas beaucoup dans le commerce mais en construction amateur c très simple à concevoir, d’après moi il n’y a que des avantages, et il faut vraiment oser la manoeuvre amphidrome, m^me si le prao qui vire normalement est bien commode et simple. Le lest est inexistant l’equipage ou un ballast qui se deplace à l’horizontale c plus efficace qu’un plomb à la verticale. Une seule coque, un flotteur, en fait un monocoque avec une extension, complètement inutile d’en avoir deux,même pour l’esthétique. Le véritable pont entre planche à voile, kayak, dériveur classique. C un site amateur, le mien, et il y a aussi beaucoup de bons articles en anglais, en tous cas des idées à prendre et une vraie configuration avec beaucoup d’economies et de perfs à prendre http://www.prao-france.com/praos (en construction)
Vous avez oublié:cap corse,corsaire,micro challenger etc... B.Duris
Le Micro-Challenger est de un point de vue du rapport qualité/prix, confort et prestations un excellent compromis : 1)Les prestations sont très bonnes (il est entre les Micro), même si les formes arrières peu porteuses le pénalisent aux allures portantes. 2)La mise à l’eau est facile (pas de quille fixe ou pivotante) et n’obblige pas à mettre les roues de la rémorque à l’eau. 3)Le poids total est assez limité (550 kg). 4)C’est un bateau insubmersible, homologué en categorie 4 sans radeau de survie. 5)Il est produit depuis 30 ans et le Chantier Naval Azuréen est extrémement professionnel. 6)La cabine est confortable et permet de faire de la croisiere côtiere (j’en fais depuis 8 ans).
Selon vous un First 18 Quille retractable, avec 55 cm de lest est ce que pourrait poser problèmes pour la mise à l’eau ?
Je ne vois pasapparaitre dans votre article le Mac Gregor 26 X ou 26 M Que pensez - vous de ce bateau , ilparait sujet a polémique .J’aimerai avoir le point de vue de navigateurs qui l’ont utilisés
voir le site http://lesmacgregor26.ifrance.com/c... Je possède un 26X, c’est un excellent bateau. Construit à près de 40.000 exemplaires, si cela avait été une daube, ça se saurait ! En France, de 1998 à 2001 un importateur dynamique ACCEL MARINE a vendu environ 250 exemplaires du 26X. A cette époque, toute les revues nautiques ont publié des essais et des comparatifs qui étaient tous positifs pour le bateau. Ce n’est pas un voilier de régate mais il avance .... J’ai eu auparavant un ETAP 28 puis un 22i, qui marchaient guère mieux. C’est vrai qu’avec la barre à roue, on n’éprouve pas beaucoup de sensation sous voiles, il est possible de déconnecter le moteur ce qui améliore la tenue.Il est plus à considérer comme un fifty, une fois démâté, il se comporte comme un vrai bateau à moteur qui marche à plus de 20nds. J’ai fait beaucoup de parcours en rivière ou sur le canal du midi, c’est un bateau très agréable avec 3 ou 4 personnes à bord. L’intérieur est vaste, on peut tenir debout (1,80m) ce qui est rare sur cette taille de bateau.La couchette arrière peut faire office de soute, on y loge facilement un vélo,essayer sur un first 210 ! A première vue, l’habitacle est aussi séduisant qu’une cabine de douche Leroy Merlin mais on customise le bateau facilement (voir les sites US)et on peut en faire un espace sympa. Le démâtage est facile mais il prend quant même une heure (la pub annonce 15 minutes)et avec un tirant d’air de 1,80m on passe sous tous les ponts.Le tirant d’eau avec moteur : 0,80m moteur relevé 0,40m on passe partout, on beach sans problème. Le "secret" du bateau, c’est le balast d’eau qu’il ne faut pas oublier de remplir lorsqu’on fait de la voile sous peine de se retrouver sur le béret. On trouve de bonnes occasions pour 22 à 25.000 euros. Attention la remorque d’origine US souvent proposée avec n’est pas homologuée en europe. Avec le moteur il pèse environ 1,4 tonne + 450kg de remorque.Bref, c’est un bateau très astucieux, agréable à vivre avec frigo, eau/pression, kitchenette, WC, 4 vraies couchettes, sympa à piloter car il passe partout.
Voir en ligne : Mac Gregor
Bonjour, Je ne vois aucun article sur le Tonic 23. C’est pourtant un formidable bateau, transportable, super aménagé (cabine arrière double, WC marin séparé, cuisine, carré, couchette avant double, table à cartes), très marin et très rapide. Avec quille relevable, on a un tirant d’eau de 70 cm, ce qui permet d’aller partout. Suis je le seul en France à avoir ce bateau ?...
Alain / 44
voir le site : http://lesmacgregor26.ifrance.com/c... Cela fait 3 fois que je tape un long commentaire qui n’est pas pris en compte ! ! C’est un excellent bateau
Voir en ligne : Mac gregor 26X